1. Un homme heureux


    Datte: 06/08/2018, Catégories: Collègues / Travail amour, Oral fsodo, Auteur: Bertrand D, Source: Revebebe

    ... peux oublier ce que tu m’as fait subir. Simplement je te tutoierai comme autrefois.
    
    Je me réajuste et la quitte sans un mot. Le lundi matin, je monte au bureau et la tutoie comme je lui ai avais promis. Marie entend notre conversation. À la descente me regarde en souriant. Je suis sûre qu’elle a compris la raison de ce changement.
    
    Désormais, le samedi après la mise à jour des différents problèmes professionnels, elle s’offre, veut me séduire, et y parvient souvent. Je retrouve la maîtresse d’autrefois. Elle prépare mon sexe dans sa bouche, puis quand je suis prêt, elle se lève, quitte sa robe. Elle est nue, s’allonge sur le bureau. Son corps est toujours aussi magnifique. Je ne peux résister et la prend. Dans ces moments-là, je me crois revenu au temps où nous étions amants. J’attends toujours qu’elle ait pris son plaisir pour me déverser en elle. Mais quand je reprends mes esprits, je revois, je me rappelle la scène où elle m’a rejeté. Pourtant, il est évident qu’elle tient maintenant vraiment à moi, que nous pourrions former un couple normal. Comme à l’ordinaire, un samedi, au moment où nous nous aimons, elle prend mon sexe en bouche et ne veux pas le lâcher.
    
    — Laisse-moi, je veux seulement te baiser.
    — Mais aujourd’hui je ne peux pas, je suis indisposée.
    — Relève-toi et mets-toi en tenue.
    
    Elle m’obéit sans rien dire. Je la place à plat ventre sur le bureau. Je vais lui démontrer qui est le maître. Je lui écarte les fesses et présente mon sexe face à son ...
    ... anus. Elle m’a toujours refusé cela. Je vais voir si elle m’aime vraiment.
    
    — Écarte tes fesses avec tes mains.
    — Mais Bernard…
    — Tais-toi.
    
    Avec difficulté, je m’enfonce dans ses boyaux. Je n’ai que rarement pratiqué ça, mais je rêvais de recommencer un jour. La sensation est tellement incroyable que je ne peux résister longtemps et me déverse dans ses intestins.
    
    À ce moment là, je prends soudain conscience que je viens de la violer ! Je regrette mon geste et relève Isabelle, la tourne vers moi. Elle le visage couvert de larmes, mais ne dit rien. Je l’embrasse comme autrefois.
    
    — Pardonne-moi Isabelle, je ne sais pas ce qui m’a pris. Je viens de te violer.
    — Ça ne fait rien, je t’aime tellement, je suis prête à tout pour te satisfaire.
    — Excuse-moi, je me sens tellement dégueulasse, je ne peux te parler.
    
    Je l’ai laissée toute seule, mais à travers ses larmes, j’ai senti qu’elle avait un certain espoir.
    
    Tout le week-end, je me suis maudit. À une femme qui était prête à tout pour me reconquérir, j’ai infligé la plus humiliante punition. Je ne pouvais pas supporter son offense, et je venais de me venger de la même façon. Samedi prochain, je lui dirais que je l’aime et nous nous remettrons ensemble.
    
    Le lundi, je n’ose pas regarder vers son bureau, j’ai trop honte. Je me lance dans le travail, ressassant ma mauvaise action. Marie, en fin de matinée, vient m’appeler. Isabelle et monsieur Faure veulent me voir. Je monte me demandant qu’est-ce qui ne tourne pas ...