Un homme heureux
Datte: 06/08/2018,
Catégories:
Collègues / Travail
amour,
Oral
fsodo,
Auteur: Bertrand D, Source: Revebebe
... m’excuser, mais tu n’étais pas là.
— Madame, je ne changerai pas d’avis. Veuillez m’indiquer le travail à exécuter.
Je descends retrouver les copains. Je distribue le peu de travail qu’il y a accomplir, ils en sont capables. Je prends l’apprenti avec moi. Visite des machines, des outils, explications, comme l’a fait Jacques avec moi. Je vais en faire un très bon ouvrier.
Maintenant les réparations sont correctement exécutées, dans les délais prévus, selon le devis présenté. De plus, à chaque fois, je fais une visite complète du véhicule, je règle et répare les petites anomalies ou j’avise le propriétaire lorsque une réparation importante est nécessaire. La rumeur se répand vite de la qualité de notre travail et nous retrouvons nos anciens clients. Particulièrement le vieux monsieur que Grégory avait fâché. Il m’avoue qu’il est content de me voir revenu et il va en informer ses amis.
Depuis six mois que je suis là, nous n’avons pas encore retrouvé la clientèle d’autrefois, mais le chiffre d’affaires progresse régulièrement. Monsieur Dubois vient de temps à autre. Il m’invite à déjeuner et m’interroge. Sur le fonctionnement du garage, certes, mais aussi sur mes relations avec la patronne. Je le rassure, nous coopérons pour le travail.
Avec Isabelle, en dehors des affaires urgentes, nous nous voyons régulièrement le samedi soir. Nous faisons le point, parlons exclusivement boulot. Elle me tutoie toujours et moi je la vouvoie. Elle tente de me faire changer d’avis, ...
... mais je refuse toujours. Elle est seule et je sens le désir de renouer des relations normales, comme autrefois où nous étions inséparables. Mais j’ai encore dans la tête l’affront qu’elle m’a fait subir. Toutefois, j’aimerais bien reprendre le tutoiement, oublier ce qui s’est passé.
Ce samedi, elle insiste particulièrement, je sens des larmes dans ses yeux et cela me touche.
— Il faut que je te le demande à genoux ? me dit-elle.
— Non, madame.
Surprise ! Elle tombe à genoux. Elle est folle ! Non, elle me prend par mon point faible. Elle baisse la fermeture éclair de mon jean, sors mon sexe du caleçon et l’embouche. Elle me connaît bien. J’essaie de la repousser, mais elle s’accroche. Mon esprit refuse pour l’humiliation qu’elle m’a infligée. Mais ma chair est faible, ou plutôt ferme. Par lâcheté, mais surtout par plaisir, je la laisse opérer, c’est une experte dans ce domaine. Rapidement je me sens prêt à jouir. Je veux la repousser afin de ne pas la tacher, elle a toujours refusé d’absorber mon sperme. Mais de ses bras, elle m’entoure les cuisses. Fataliste, mais aussi avec plaisir, je me déverse dans sa gorge. Longuement, elle absorbe tout, puis de sa langue me nettoie. Que dois-je faire ? La rejeter, reprendre nos relations amoureuses ? Non simplement j’accepterai de la tutoyer.
— Alors, ne me dis pas que tu n’aimes pas ce que viens de faire, et même que tu m’aimes toujours.
— J’ai apprécié ta prestation, comme je l’aurai fait de celle d’une pute. Mais je ne ...