Histoires de cocus (extra)ordinaires (13)
Datte: 17/11/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: yannlakeu, Source: Xstory
... nous avions regagné la chambre.
J’étais assis dans le fauteuil d’angle et je regardais le lit, en donnant parfois des ordres, à la manière d’Ildefonse auquel nous avions rendu visite à deux autres reprises. Pour le moment, je regardai Mehdi embrasser lentement et délicatement les seins de ma femme. Sa peau brune se détachait sur la peau blanche. Il était sur le côté. Je voyais sa grosse queue tendue, attendant que je donne l’autorisation d’aller plus loin. Je me caressai le bout de la queue en silence, jouissant du spectacle.
Parfois, souvent même, nous sortions le samedi soir.
J’avais eu envie de refaire un plan exhib, et quand l’occasion s’en présentait, sur un parking fréquenté par des routiers, dans la forêt, dans des pissotières, en extérieur, je prenais ma femme par derrière. Quelquefois, un promeneur se joignait à nous. Parfois encore, soit au restaurant, soit au cinéma, au bar ou, plus facilement en boîte, car je pouvais m’éloigner, je laissais les hommes approcher ma femme, ou ma femme les aguicher sans aucune honte. Quand le gars me plaisait, j’entrai en contact avec lui. C’est ce qui s’était passé la veille au soir.
— Elle te plaît ma femme ? Avais-je donc demandé à Mehdi, comme à quelques autres avant lui dans d’autres soirées, après l’avoir laissé plusieurs fois danser avec elle et commencer à flirter de plus en plus ouvertement.
— Ah... C’est ta femme... pardon, j’savais pas... je croyais qu’elle était seule... Désolé.
Et à voir son visage, il ...
... l’était sans doute réellement, mais plus par l’idée qu’un plan venait de foirer et qu’il devrait recommencer avec une autre ou se finir la soirée à la force du poignet, que par le sentiment d’avoir été trop entreprenant.
— Elle te plaît ?
— Désolé... désolé.
On sentait bien qu’il capitulait. Il ne voulait pas d’embrouilles. Parfois des gars réagissent différemment en me disant qu’elle les a chauffés et que j’ai qu’à mieux la surveiller avant qu’elle les chauffe.
— Tu prends un verre avec nous ?
— Euh...
— Viens !
Assis sur la banquette entre ma femme et moi, nous passâmes très vite le marché.
Brigitte lui mit la main entre les jambes.
— C’est dur ?
— Eh !... Vous faites quoi ?
— Alors, il bande ?
— Mou encore...
— T’aimerais un plan à trois ?
— Sérieux ?
— Si t’es équipé pour... Montre ta bite !
Il regarda autour. L’obscurité à peine troublée par les spots, lasers et autres stroboscopes, nous mettait à l’abri.
Sans précipitation, il ouvrit sa braguette et sortit son sexe. Il prenait notre proposition au sérieux apparemment.
— C’est pas mal... plutôt épais ! conclut Brigitte.
— On y va, alors !
Et nous le ramenâmes à la maison comme déjà des dizaines d’autres avant lui. Nous baisions une partie de la nuit, selon l’endurance du sujet, et le midi, après avoir mangé, je prenais ma place pour les regarder commencer à faire l’amour devant moi avant de les rejoindre ou pas.
C’était un beau militaire avec un gros mandrin ...