Histoires de cocus (extra)ordinaires (13)
Datte: 17/11/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: yannlakeu, Source: Xstory
Le champagne coulait à flots, pas mauvais d’ailleurs ; les rires succédaient aux rires, les clameurs aux clameurs, les gars lutinaient les filles qui se laissaient plaisamment faire en attendant sans doute de voir une érection se dessiner sous l’habileté de leurs doigts qui couraient sur les verges moles ou les testicules velus. On parlait gaudriole et on faisait connaissance, on se souvenait de nos meilleurs corps. Bref, la fête battait son plein.
On avait sorti quelques desserts du frigo et quelques tétons ou bouts du gland se retrouvèrent nappés de crème ou de Chantilly.
Cela redevenait chaud.
Le patron s’approcha de ma femme, mit ses doigts dans un bol de Chantilly et les lui porta à la chatte. Il en couvrit les poils, comme de la mousse à raser, la doigta profondément au point de la faire gémir et finit par me dire : "nettoie-la" !
Je me mis à genoux pour lécher tout cela et autour de nous, soit on léchait les seins recouverts de nappage, soit la raie du cul pour d’autres. Les queues se redressaient.
Quand j’eus à peu près achevé, ma femme était déjà chaude et mouillait. Il la doigta encore de l’index et du majeur, les suça et fit :
— Elle est à point ! Suivez-moi !
Nous le fîmes sans hésiter.
— Bonsoir tout le monde ! Demain matin, le petit-déjeuner est pour moi ! A bientôt les gars !
Les cris, les bravos, les hourras et les applaudissements déferlèrent, même après que nous eûmes disparu dans le tournant de l’escalier.
Ceci fait, nous ...
... entrâmes dans une chambre.
— C’que j’aime, moi, c’est baiser une femme devant son homme. Tu sais pas à quel point tu peux me faire plaisir. Alors tu vas monter sur le lit et faire tout ce que je vais te dire.
Les exigences n’étaient pas bien terribles à première vue. Il fallait juste que j’embrasse ma femme sur la bouche ou sur les seins, que je la caresse par petites touches en lui disant des mots doux pendant que lui ferait ce qu’il lui plairait.
Je montai sur le lit en premier, suivi des deux autres, ma femme ayant l’air d’avoir tout à coup récupéré de sa fatigue.
On défit les couvertures pour dévoiler un drap maculé des cercles jaunâtres caractéristiques des tâches de sperme. C’était un peu dégueulasse, mais l’heure n’était pas à la lessive.
Sitôt sur le plumard, il défonce, pénétra ma femme et ressortit son zob avec un peu de crème fouettée dessus, laquelle disparut en deux coups de langue. Ma femme est gourmande.
Puis en missionnaire, il la replanta en me disant.
— Vas-y mon gars, vas-y, bécote-la... caresse-lui les nichons. J’veux sentir ta paluche entre mon corps et le sien. Roucoulez mes tourtereaux. Allez-y, balancez-vous des mots d’amour.
Nous essayâmes de nous conformer à ses désirs, un peu maladroitement au départ, compte tenu du côté un peu artificiel de la situation, mais, petit à petit, nous nous prîmes au jeu.
De son côté, il nous encourageait.
— C’est bien, continuez... vous êtes un beau petit couple... allez, à votre tour, ...