Histoires de cocus (extra)ordinaires (13)
Datte: 17/11/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: yannlakeu, Source: Xstory
... jouir plus que moi et qu’il la couvre de jute...
— Ouais, c’est bon ça... tiens, viens pomper le dard de ton mec pendant que je t’enfile.
Il s’allongea sur le dos et elle vint se mettre à califourchon sur son sexe. Il la maintint couchée sur lui un moment pour bien la palocher, puis elle se redressa pour pouvoir me sucer. Je me tenais debout au-dessus de lui.
— Te retiens pas. Tu lui fous tout dans la bouche... et toi, t’avale pas et tu ne recraches pas. Je veux que tu en gardes le maximum.
Je mis assez longtemps à venir, mais il fut patient et j’éjaculai, assez peu forcément, en exagérant cependant mes gestes et mes cris.
— Dégage-toi de là. T’as gardé le jus ?
Ma femme fit signe que oui.
— Ouvre !
Et il enfila sa queue dans la bouche. Immanquablement, du sperme jaillit et dégoulina sur le menton.
Il se retira.
— Embrassez-vous à fond, bien avec la langue.
Et pendant que nous nous roulions cette pelle au jus, il doigta Brigitte vigoureusement.
— En levrette ! Toi, allonge-toi comme ça !
Je me mis en travers du lit, comme il me l’indiquait, et ma femme se coucha sur moi, le cul en l’air.
— Caresse le paquet de ton mari pendant que je te défonce.
Défoncer était le mot exact. Il le fit avec d’autant plus de rage que ma femme ne criait pas. On se souvient qu’elle jouit à voix basse par fréquences plaintives. Il aurait voulu que ses cris résonnassent dans toute la maison.
Et pourtant, je vous garantis qu’elle jouissait. Elle ...
... ruisselait de mouille qui dégoulinait sur son pubis et sur son ventre, jusqu’à moi.
Enfin, il aboutit à son tour, à grand renfort de jurons.
Il se retira et aussitôt, m’ordonna de venir lécher la chatte.
Palocher ma femme avec mon foutre... bon... à la rigueur... mais le sperme d’un autre... je n’eus d’ailleurs pas le temps de réfléchir. Sa main solide m’empoignait les cervicales. J’aurais pu me dégager, mais un ex-légionnaire, c’est autre chose qu’un camionneur fanfaron... ça aurait pu mal tourner... à quoi bon gâcher la bonne entente qui avait prévalu jusque-là ?
Une grosse goutte de sperme sortait du vagin. J’y mis la langue sans me poser plus de questions et mangeais ainsi la chatte jusqu’à ce que lui même se fût satisfait du nettoyage de bite que ma femme lui faisait avec la langue.
Quand tout fut fini, il me congédia.
— Bon, il est temps de dormir maintenant. Tu te mets dans la piaule que tu veux. Du moment que la porte est ouverte, c’est qu’elle est libre. T’es un bon cocu, toi ! J’t’aime bien. Tu peux baiser chacune de mes femmes quand tu veux ! T’as crédit illimité dans la maison.
Et il resta ainsi avec ma femme.
Il était tard. Je trouvai un lit et m’endormis.
Nous restâmes là deux autres nuits, occupées de la même manière ou presque, en fonction des clients de passage ; et le reste de nos vacances se passa entre nous deux exclusivement.
Un peu plus de deux ans après, un dimanche d’octobre pluvieux en début d’après-midi, petit-déjeuner pris, ...