1. Histoires de cocus (extra)ordinaires (13)


    Datte: 17/11/2021, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: yannlakeu, Source: Xstory

    ... ouiii, oh ouiii...
    
    — Lève ton cul, là, appuie-toi sur tes talons, lève ton cul de putain !
    
    Il se mit à genoux, puis la soulevant par les reins, il la posséda en position du "néophyte"
    
    — Bouffe-lui délicatement les seins. Parle-lui de moi.
    
    Je le fis.
    
    — T’aimes sa queue, hein ma chérie. Il te fait du bien. Elle est grosse... tu jouis ?
    
    Elle répondait par gémissements.
    
    — Ah bordel, vous êtes doués tous le deux ! C’est le pied... mets-toi à quatre pattes... et toi, va en dessous... non ! la tête entre les cuisses, pour voir mes couilles en action. T’as le droit de lui lécher la chatte pendant que je l’encule... et toi tu fais une gâterie à ton homme... il le mérite.
    
    Il voulut lui défoncer l’anus sans gel. Il y eut résistance.
    
    — Eh bien ? Qu’est-ce qui se passe ? On y entrait tout seul tout à l’heure... lèche la rondelle de ta bonne femme, lubrifie-moi ce trou... suce-moi, mignonne pendant ce temps-là... et doigte-la s’il faut. Ça doit retrouver de la souplesse...
    
    Il changea de place pour opérer la manœuvre, mais quelques coups de langue ne purent pas y faire grand-chose ; aussi, quand il revint, l’enfila-t-il sans plus attendre. Elle eut mal, serra les dents, mais elle se détendit vite et ouvrit son cul.
    
    — Ça y est, bon cul, bien serré. Tu l’encules ta bonne femme toi ? Pas souvent hein... sans ça, elle s’ ouvrirait comme une fleur...
    
    — Ta bite est plus grosse !
    
    — Bien sûr qu’elle est plus grosse. C’est la plus grosse de toutes. Tu la sens ...
    ... là ?
    
    — Mais oui, elle la sent... Hein ma chérie, tu la sens la grosse trique... t’aime ça hein ?
    
    — Hmmmmmm.
    
    — Lèche-lui la fente, fais-la jouir.
    
    Le faire me mettait évidemment dans une position inconfortable, c’est-à-dire avec les burnes du patron sur le nez.
    
    Il y mettait tant d’ardeur, qu’il suait comme un porc. On était, avec la chaleur, dans une atmosphère tropicale humide.
    
    — Maintenant, tu te mets à genoux derrière ta femme, toi aussi poulette... à genoux... Tu lui prends les nichons dans les mains et tu écrases ma pine entre ses deux beautés !
    
    Sa queue allait et venait entre les seins que je comprimais du mieux que je pouvais. Il crachait parfois sur le bout de son nœud pour aider à coulisser.
    
    — T’as d’jà vu de la bite comme ça ma chérie ?
    
    — Non...
    
    — C’est la plus grosse que t’as jamais vue ?
    
    — Oui.
    
    — C’est clair ! Et toi, t’as déjà vu des mecs avec une aussi grosse queue... et raide comme ça ?
    
    — Non, t’es le mec le mieux monté que je connaisse.
    
    — Ben tiens, c’est pour ça que faut que vous profitiez. T’aimes ma queue, pas vrai, cochonne !
    
    — Oui, oui, elle est bonne ta queue.
    
    — C’est bien, suce-la... et toi, ça te plaît d’être cocu ? T’aimes ça ?
    
    — Oui.
    
    — Mais ça te plaît comment ? T’aimes voir ta femme faire la pute, prise par tous les trous, par un gros zob ?
    
    Je devinais qu’il fallait plus qu’une affirmation pour le stimuler davantage.
    
    — Oui, j’aime voir ma femme défoncée par un étalon, j’aime qu’un mec la fasse ...
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