1. Histoires de cocus (extra)ordinaires (13)


    Datte: 17/11/2021, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: yannlakeu, Source: Xstory

    ... encouragez-moi !
    
    Et comme nous ne voyions pas très bien ce qu’il attendait par là, il nous pilota.
    
    — Toi, Yannick, invite-moi à bien la baiser, montre-moi que tu veux que je saute ta femme, comme jamais tu l’as fait, et jamais elle l’a été, et toi ma poupée, dis-moi que t’aimes ma grosse queue, que tu la préfères à toutes celles que t’as eues, que je te pine mieux que ton homme.
    
    Ce ne fut compliqué, ni pour elle ni pour moi.
    
    En effet, ma femme paraissait à l’aise dans ce rôle qui ne semblait pas être de composition. Elle flattait d’autant mieux l’étalon que, de mon côté, je l’encourageais d’une sincérité non feinte.
    
    J’étais en effet en train de réaliser ce qui me plaisait dans cette expérience de cocufiage.
    
    De tout temps, j’avais aimé la pornographie. Chargé de faire mon éducation sexuelle, mon père m’avait mis dans les mains "Lady Chaterley", pensant joindre l’utile à l’agréable et me donner le goût de la lecture. Il y réussit au-delà de ses espérances, me recommandant toutefois de rester discret vis-à-vis de ma mère. Plus tard, je passai à une littérature plus en images et moins en textes et, quand j’eus l’âge requis, je fréquentai les salles spécialisées qui en étaient à leur chant du cygne. C’est là, un mercredi après-midi, alors que nous étions officiellement en train de travailler, qu’un copain et moi perdîmes notre virginité avec la femme d’un couple de quinquagénaires. Elle n’était pas belle, mais nous étions jeunes et elle était chaude. De là, sans ...
    ... doute, me vint cette idée qu’on pouvait être partageur.
    
    Ce qui me plaisait dans les films de cul, c’étaient les seins, plutôt ronds et fermes que gros, et les hommes bien membrés et poilus faisant tâter de leur pénis aux belles gourmandes. Sexes poilus en érection, labourant les chairs, pénétration du zob en gros plan et profondeur, tout en lenteur, boules s’écrasant sur les fesses, voilà ce qui m’excitait. Et là, je le vivais comme acteur et pas spectateur. Voir une belle grosse queue, renter dans une chatte ou un fion, ou être avalée par une bouche pulpeuse, rien de tel pour me faire bander, et puis cette odeur du cul... ah bordel.
    
    Voilà ce que j’aimais, voilà pourquoi je laissais ma femme se faire prendre, parce qu’en plus, elle y prenait un vrai plaisir. On n’était pas au cinoche, elle ne jouait pas, ses orgasmes étaient réels et je triquais dur comme de la pierre.
    
    Alors, oui ! j’encourageai le garçon.
    
    — Vas-y, mets-la ! Elle aime ça, mets-lui bien au fond !
    
    — Ah ouais, elle aime ça ?
    
    — Fais-la jouir avec ta grosse queue. Elle prend son pied. C’est une bouffeuse de grosses bites. Elle aime la queue.
    
    — T’aimes ça, voir ta femme se faire prendre, hein mon cochon. Tu veux que je te la foute ?
    
    — Vas-y, bourre-la bien !
    
    — Montre-moi ta queue. Ça te fait bander qu’on baise ta femme hein, t’aimes ça ?
    
    — Oui, vas-y, vas-y, prends-la !
    
    — Et toi salope, t’aimes ça hein, tu la sens ma grosse bite ? Elle est meilleure que ton mari ?
    
    — Oh ouiiii, oh ...
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