1. Mille neuf cent soixante huit (3)


    Datte: 15/11/2021, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Conkupiçan, Source: Xstory

    ... raser le pubis et les roubignoles. J’anticipais ainsi sur les modes à venir. Je n’avais pas apprécié la foufoune trop poilue. Enfin si, énormément, mais ça diminuait pour moi le plaisir. C’est avec fierté que je sortis nu de la salle de bain et m’exhibai ainsi, le pubis glabre devant maman.
    
    — Tu as vu? C’est mieux comme ça non?
    
    — Et tu es fier de toi? Tu te prends pour qui? Tu te crois mon amant pour t’exposer ainsi ? Allez file te coucher.
    
    Aï... Ce soir là il ne se passa rien. Le lendemain non plus. Les vacances se terminaient. Elles ne duraient alors qu’une semaine.
    
    Nous vaquions à nos occupations comme si de rien n’était. Pourtant le vendredi en plein repas du soir, maman me demanda de but en blanc, sans préavis :
    
    — Est-ce que tu serais capable de sauter du train en marche ?
    
    — Ben je pense que oui.
    
    — Vaudrait mieux que tu sois sûr. Je ne tiens pas à finir ma vie chez une faiseuse d’ange.
    
    — Je suis sûr maintenant. J’y arriverai.
    
    — Alors demain tu pourras venir dans mon lit.
    
    — Pourquoi pas ce soir.
    
    — Parceque c’est moi qui choisit.
    
    La journée me parut longue. Le temps se radoucissait, la neige devenait plus lourde. On avait skié sur la ligne de crête. La neige collait aux lames de bois. Mal fartées sans doute.
    
    La soirée fût plus longue encore. J’avais compris que je devais me comporter absolument normalement. Ce n’est que vers 21 heures que maman installée près du feu commença à écarter la lourde robe de chambre et à toucher sa culotte ...
    ... tout en lisant du Sagan. Je n’en pouvais plus de désir. Tout à coup le signal :Très calme.
    
    — Allez on monte.
    
    Elle me précéda dans l’étroit escalier. Arrivée dans la chambre elle enleva la robe de chambre. Elle avait une chemise de nuit plus légère que la première fois. Elle retira sa culotte.
    
    Elle se glissa sous les couvertures et le lourd édredon où des briques brûlantes avaient chauffé le lit des heures avant.
    
    C’était chaud et douillet.
    
    -Allez viens, t’attends quoi? Tu veux geler sur place?.. Non gardes ton pyjama.
    
    J’obéi avec plaisir. Je me glissai contre elle. Je voulu baiser son cou, ses lèvres .
    
    — Calme toi. Tu n’es pas mon amant. Je te l’ai déjà dit.
    
    Alors je descendit directement vers son intimité. Et là, petite surprise en remontant sa chemise:
    
    — Tu t’es coupé les poils ? Pas rasée?
    
    — Tu aurais voulu quoi? Une petite fille de prime jeunesse ? Le sexe nu? Les femmes ont du poil là, un point c’est tout. Mais tu as raison. Trop c’est trop.
    
    Et elle dirigea ma tête vers sa vulve. Impérieuse. Je la baisai la léchai jouai avec les grandes et petites lèvres à loisir. D’autant que la courte toison s’y prêtait désormais parfaitement. Elle aimait que je frôle l’urètre. Je remontais mes deux mains vers ses longs mamelons dressés. Je les tirais encore plus haut, puis je pelotais les fermes petits globes parfaits. Je suçais. Je buvais. Elle aimait que mon pouce gratte son pubis pendant que ma langue tournait autour du clitoris. C’est ainsi que vint ...
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