-
Mille neuf cent soixante huit (3)
Datte: 15/11/2021, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Conkupiçan, Source: Xstory
... voyait que grâce au blanc de la neige, en dépit de la nuit, mais malgré le lourd sac tyrolien en toile et cuir, je sentais qu’elle rayonnait. Je la trouvais alors sexy en diable. Une vraie déesse. Une créature mythique de la forêt. Mi fée mi sorcière. Une ancienne guerrière pour de bon. Dans l’alpage il a vraiment fallu que l’on profite de notre parfaite connaissance du terrain pour tomber pile sur le chalet. Le froid devenait beaucoup plus vif. Ça aurait pu vite devenir critique. Ma mère poussa la lourde porte. Et se précipita, moi derrière à sa suite dans le chalet. Les ordres fusaient à mon intention logiques et précis. — Monte les radiateurs gaz, ils sont juste en hors gel. Allume le chauffe eau gaz et les lampes à gaz. — Débarrasse toi de tous tes vêtements avec la neige. Faut pas rester mouillés. Je vais faire du thé et je m’occupe du feu. Se faisant maman s’était effectivement débarrassé aussi et vivement de ses vêtements. Être au sec était beaucoup plus sûr. Tout en en faisant autant, je la regardais subjugué. Elle s’est retrouvée en culotte et soutif, à courir partout. Toujours en riant. — On a été trop fort. Tu as vu comme c’était beau? C’était bath non? En l’occurence c’était moi qui la trouvait bath. Presque nue; pourtant ce n’étaient pas des sous-vêtements en dentelle qu’elle portait ! Malheureusement ça n’a pas duré. Elle a vite attrapé sa robe de chambre. — Faut manger un peu. Le thé est chaud, je réchauffe les patates qui sont ...
... dans nos sacs. Après on pourra dormir. Ce que nous fîmes sans autre forme de procès. Chacun dans un des lits jumeaux, non sans avoir placé une brique trop tiède ( le fourneau n’avait pas chauffé assez) dans les lits. Nous nous sommes glissés sous les énormes édredons de plumes ancestraux et avons plongé dans un intense sommeil. Pourtant nous ne dormîmes que quelques heures. Vers cinq heures un froid intense nous réveilla. La neige avait dû cesser et la nuit s’éclaircir. Le froid succédait à la neige dans un ciel rempli d’étoiles brillantes et rondes en raison de la pureté de l’air glacé. — Tu as vu maman, il y a des fougères de glace sur la double vitre jusqu’au deuxième carreau ! Deux carreaux gelés sur trois de hauteur indiquaient un gel intense. — Maman je peux venir avec toi pour avoir plus chaud? — Oui il faut . C’est le mieux. Aussitôt dit, aussitôt fait. Je me glissai dans le lit tout en chevauchant ma mère. La tradition héritée de l’enfance voulait que je fusse côté mur. Je me serrai très fort contre la chemise de nuit qui enveloppait le corps musclé . Maman se rendormit sur le dos et moi contre elle. Tout collés serrés. Je me réveillai le premier. Il faisait jour. J’avais envie de faire pipi. J’étais toujours en position latérale droite, tout contre le corps de ma mère sur toute la longueur. Je m’apperçu que je bandais fort. J’avais la tête sur le bras gauche de maman. Je m’apperçu que la manche de sa chemise de nuit était relevée ...