1. Mille neuf cent soixante huit (3)


    Datte: 15/11/2021, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Conkupiçan, Source: Xstory

    ... Parfois ça remonte.
    
    Arrivés à la carrière on a déchaussé et on a pelleté. On avait chaud malgré le froid assez vif .
    
    — Ouh! dit maman, faut que je fasse pipiiiii!
    
    Décidément ça revenait comme un leitmotiv. Mais cette fois elle retroussa son fuseau, écarta bien les cuisses et le jet sorti de son intimité, fin et courbe comme une lame de sabre. Elle s’était ouverte devant moi. Manifestement exprès. C’était pas la place qui manquait pour faire ça .
    
    — J’aime bien faire fondre la neige devant moi. Ouhouhouh ( comme une enfant)!
    
    — Et moi je veux bien te nettoyer...
    
    Elle bascula alors, sans rien dire, le dos dans la neige protégée par sa canadienne mais les fesses dans la neige, en riant comme une gamine. Je me jetai une fois de plus en avant, et enfoui tout aussitôt ma tête entre les cuisses. Ça sentait un peu la pomme verte et le café. À cause de l’urine. Pour rire je pris un peu de neige poudreuse et en frottai doucement la toison. Ma mère cria comme quand on joue à se lancer des boules de neige, mais se remit vite à pousser des petits gémissements. Je compris qu’il ne fallait pas languir. Je tournai ma langue illico sur le seul clitoris sans m’égarer. Plus vite plus fort qu’au soir. Elle eu alors une vibration de l’intérieur des cuisses. Je sentis une coulée douce.
    
    Aussitôt elle se remit debout. S’essuya avec un peu de neige. Rajusta ses vêtements après avoir secoué la neige résiduelle.
    
    — Et toi tu as envie?
    
    — Tu parles. Bien sûr.
    
    Sans un mot de ...
    ... plus, elle ouvrit les boutons de cuivre du knickers et sorti non sans peine mon sexe déjà gonflé à mort. Elle entreprit alors une branlette en se tenant de trois quart arrière. Elle avait pris mon sexe entre trois doigts et le branlait doucement. Comme si c’était moi, mais c’était elle, avec sa main à elle. Cette fois je pu tenir un peu plus longtemps avant que mon sperme ne se perdit dans la neige, non loin de la trace d’urine.
    
    La voiture avait été retournée au prix de pas mal d’efforts. On entama alors la descente, lente, vers le village. On ne pouvait aller bien vite au risque de se prendre le ravin ou d’aller finir entre les arbres.
    
    Nous sommes arrivés au hameau de A. dans la soirée. Il était trop tard pour remonter. Le père H nous prêta sa grange à foin pour la nuit à condition de ne pas fumer. Mais personne ne fumait. Il faisait tiède au dessus des bêtes. On déplia deux couvertures dans le foin. La situation aurait pu être érotique. Le foin, ses odeurs douces sont paraît il propices aux ébats. Il n’en fût rien. En vrai le foin c’est un dernier recours. Mais c’est inconfortable, piquant, et probablement plein de bestioles.
    
    Au matin nous avons rechaussé les skis pour repartir en sens inverse. Une fois de plus. Nous avions donc passé la moitié des vacances à s’occuper indirectement de la voiture. Mais après tout nous avons skié, et c’était là le but du voyage. En prime et d’un commun accord nous avions franchi l’interdit suprême.
    
    Le soir je passai du temps à me ...
«12...5678»