1. Cet homme


    Datte: 06/08/2018, Catégories: fh, telnet, fsoumise, hdomine, strip, vidéox, photofilm, pénétratio, fsodo, coprolalie, sm, gifle, fouetfesse, confession, regrets, fsoumisah, Auteur: Ponderosa, Source: Revebebe

    ... comme si l’homme virtuel s’était éteint. Plus de marques d’attention, plus de sms à longueur de journée. Le film défile et je me pose mille questions. À la fin, je lui demande si je peux aller prendre une douche. Il accepte.
    
    Ma vue dans le miroir me fait sourire ; je me trouve jolie. Je retire mes vêtements un à un avec un peu de mal. Mal aux fesses, mal au cœur. Je m’accroupis toujours un peu groggy dans la baignoire, et, sous les gouttes d’eau brûlantes, libère mes larmes.
    
    Nous nous couchons tôt, il s’endort tout de suite tandis que je ne trouve pas le sommeil avant le milieu de la nuit.
    
    Je le retrouve le lendemain dans sa cuisine, découvrant au grand jour son appartement. Une décoration sobre mais de goût, un intérieur masculin, peut-être un peu triste.
    
    — Tu veux du café ?
    — Oui, s’il te plaît.
    — Tu as bien dormi ?
    
    Sa prévenance est toujours là, mais lui est distant, comme déconnecté de moi.
    
    — J’ai eu beaucoup de mal à m’endormir. Un endroit inconnu sans doute…
    
    Nous buvons notre café très rapidement.
    
    — Je dois aller chercher mes parents à l’aéroport à midi. Ça te gêne si je te laisse quelques heures ?
    — Non, bien sûr. J’ai amené de la lecture.
    
    Je lui souris, sans réponse. Son absence m’arrange, je vais pouvoir aller m’épiler… Et zut ! J’ai oublié la cire. Je rigole intérieurement de la situation, déjà merdique au départ, et qui empire au fil des heures. J’ai hâte de le raconter à mes amies, c’est bien le seul point positif que je tire de ...
    ... cette rencontre…
    
    Ses doigts me saisissant les joues me tirent de ma rêverie, il m’embrasse goulûment alors que je repose ma tasse. Avec la même délicatesse que la veille, il m’entraîne sur son canapé de sorte à ce que je sois allongée sur lui. Il relève mon haut et m’empoigne vigoureusement les seins. Il les triture ensuite comme de la pâte à modeler, pince mes tétons, les tord, leur fait subir un sort qu’ils n’ont jamais connu. Il me les frappe, longuement, en m’insultant. Puis demande à ce que je m’insulte toute seule. L’exercice m’excite au plus haut point, je ressens à peine la douleur. Je lui chuchote « plus fort… », « fais-moi mal… », « baise-moi… ».
    
    — Ta gueule.
    
    Son agressivité me faire perdre la face, j’enlève ce que je porte et m’étends sur son tapis, me caressant comme une vulgaire chienne en chaleur. Il lance internet sur son écran géant et démarre plusieurs porno en même temps.
    
    — Tu aimes ma façon de consommer ?
    — J’adore ça. J’adore que tu sois aussi pervers.
    
    Nous nous branlons côte à côte, longtemps, avant qu’il n’en puisse plus et m’amène dans la chambre par les cheveux.
    
    — Tu vas mettre des talons, des bas, du rouge à lèvre de pouffe et tu vas me faire un strip-tease. Si tu m’excites assez, je te sauterai. Sinon tu te termineras à la main et j’en aurais rien à carrer de si tu jouis ou pas. Compris ?
    — Oui Monsieur.
    
    Je file dans la salle de bain avec les accessoires et enfile le tout. Je me fais presque honte dans la glace mais c’est ce qui me ...
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