1. Cet homme


    Datte: 06/08/2018, Catégories: fh, telnet, fsoumise, hdomine, strip, vidéox, photofilm, pénétratio, fsodo, coprolalie, sm, gifle, fouetfesse, confession, regrets, fsoumisah, Auteur: Ponderosa, Source: Revebebe

    ... rend fière de moi dans le même temps. Je me présente devant lui, il est assis sur le lit contre le mur et se caresse doucement. Ma vue le fait s’activer plus énergiquement. Je me tortille, balance mes hanches de droite à gauche, touche mes seins, émets des gémissements, suce mes doigts, m’allonge par terre et en rentre quelques-uns dans ma chatte trempée. Je me relève, me tourne et écarte mon cul pour lui en mettre plein la vue. Je le vois enfiler un préservatif.
    
    — Salope. Viens là. En missionnaire.
    
    Il me fait écarter largement les cuisses, toujours avec les bas et les talons, et me donne un coup de rein rapide pour rentrer.
    
    — Tiens tes pieds, offre-toi.
    
    La position ressemble un peu à une grenouille mais je trouve qu’elle fait vraiment pute en manque de bite. J’adore. Je ne jouis pas cette fois-ci, mais me délecte de son orgasme à lui, de ses crachats dans ma bouche, sur mon visage, de toutes les insultes qu’il me lance. Quand il se redresse, je me caresse. Il part en me laissant là, pleine de désirs, me signifiant qu’il a pris son pied et que mon plaisir n’est pas son problème. Cette vision des choses me fait jouir en deux minutes.
    
    Lorsqu’arrive l’heure d’aller à l’aéroport, il m’embrasse sur la bouche en partant me laissant néanmoins ce goût amer d’échec sur la langue. Il n’a plus l’air de tenir à ce que je le vouvoie, l’appelle Monsieur ; son détachement des choses et surtout de moi qui voulais tant être sa petite soumise manque une nouvelle fois de me ...
    ... faire pleurer.
    
    Je file dans la salle de bain pour enlever chacun de ces maudits poils… à la pince à épiler. La tâche s’avère longue et fastidieuse, mais au moins elle chassera de ma tête les idées noires. Je garde mon portable à côté de moi, au cas-où. Il m’envoie un message pour me demander comment je vais, toujours très cordial mais surtout déprimant sans la petite touche d’affection qui me faisait tant chavirer. Je termine ce travail titanesque en une heure, impatiente qu’il me prenne comme il le souhaitait réellement. Je profite de ce moment solitaire pour appeler Céline.
    
    — Alors, c’était bien ?
    — Sexuellement, génial. Mais le reste… Il a changé, il est super froid avec moi, j’ai l’impression de l’agacer à chaque chose que je fais ou dis comme s’il me faisait clairement sentir qu’il valait mieux que moi. C’est très castrateur, je me sens super mal du coup. En plus, je suis loin de chez moi.
    — Oh non… ça craint là. Et tu trouves pas qu’il profite de toi ? Ça se passe mal mais vous le faites quand même ?
    — Oui, c’est un peu au-delà ça. Je ne sais pas, il y a une grande alchimie sexuelle mais pas sentimentale, en tout cas pas de son côté. Je suis tellement déçue…
    — Pauvre bichette ! Reviens dans ce cas-là !
    — J’attends qu’il se passe quelque chose. Que ça s’arrange peut-être. Je crois que je me voile la face.
    — Putain mais non, te laisses pas abattre à cause d’un manche à couilles.
    
    Je ris. J’ai l’impression de n’avoir pas connu cette sensation depuis des ...
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