Cet homme
Datte: 06/08/2018,
Catégories:
fh,
telnet,
fsoumise,
hdomine,
strip,
vidéox,
photofilm,
pénétratio,
fsodo,
coprolalie,
sm,
gifle,
fouetfesse,
confession,
regrets,
fsoumisah,
Auteur: Ponderosa, Source: Revebebe
... marchandise.
— Penche-toi en avant, je vais t’inspecter.
Il me donne plusieurs fessées, très fortes qui manquent de me faire tomber, puis écarte mes fesses. Lorsqu’il rentre un doigt dans mon anus, je laisse échapper un cri de surprise plus que de douleur.
— Suce-le.
Mon humiliation atteint son paroxysme. Tout se passe très vite, il enchaîne les gestes brusques et infamant comme s’il n’obéissait plus qu’à ses pulsions. Je savoure ce plaisir de soumission ultime en étant reléguée au rang d’objet sexuel. Il me saisit le bras et m’emmène à sa chambre non loin comme un mac amènerait sa prostituée pour vérifier ses compétences.
— Tu passes à la casserole.
Je n’ai même pas le temps de voir son appartement ; il fait sombre et mes pensées sont floues.
— Ça ne te gêne pas si je ne change pas les draps ? Une pute comme toi s’en fout de dormir dans des draps sales, hein.
Il n’attend même pas ma réponse et me jette sur le lit. Il lance d’un ton impérieux :
— À quatre pattes.
Je le vois enfiler un préservatif à côté de moi, très rapidement, et revenir se placer derrière moi. Il s’enfonce sans mal et commence un va-et-vient frénétique, salvateur. Je me caresse en même temps en évitant l’orgasme à plusieurs reprises. Il me tire les cheveux, me claque les fesses, vient mettre un, puis deux, puis trois doigts dans ma bouche pendant que je gémis sans relâche. Ses deux mains prennent ma bouche comme s’il tenait les rênes d’un cheval et qu’il montait une jument en ...
... chaleur.
— Est-ce que je peux jouir, Monsieur ?
— Jouis, poufiasse. Moi aussi je vais gicler.
Tout son corps se contracte à cet instant ; il ralentit, puis se retire doucement pour aller mettre le préservatif rempli à la poubelle. Il se rhabille et me demande ce que je désire faire ; un film ? Pourquoi pas… La scène est surréaliste.
Le Cercle des poètes disparus ne me fascine guère. Non pas qu’il ne soit pas intéressant, disons juste qu’il me laisse le goût d’une soirée ratée. Sans un mot, nous nous plongeons dans le scénario pour surtout ne pas avoir à nous côtoyer. Je le regarde de temps en temps comme pour espérer un retournement de situation, comme s’il allait soudain se tourner vers moi, me sourire en grand et déclarer « je t’ai bien eue hein ! » à la Surprise sur prise. En attendant que cet événement peu probable arrive, je reste triste et apathique, prisonnière de mon mutisme, craignant qu’il ne me trouve inintéressante au possible.
— Tu vas bien ?
— Oui ça va.
Cette impression de l’énerver me fait mentir, je n’ai pas envie que la situation empire à cause de mes états d’âme.
— Tu sais, il se peut qu’on n’ait pas de sentiments l’un envers l’autre ce week-end. Mais ce n’est pas grave, il fallait qu’on se rencontre. Il ne faut pas qu’on regrette. Tu comprends ?
J’acquiesce, mentant pour la deuxième fois.
Tout s’écroule, les discussions qu’on a eues, la grande affection développée pour chacun. C’est un parfait étranger que j’ai devant les yeux, ...