1. Cet homme


    Datte: 06/08/2018, Catégories: fh, telnet, fsoumise, hdomine, strip, vidéox, photofilm, pénétratio, fsodo, coprolalie, sm, gifle, fouetfesse, confession, regrets, fsoumisah, Auteur: Ponderosa, Source: Revebebe

    ... n’aime pas ça.
    
    Les larmes me montent aux yeux. Je regarde au loin et essaie de penser au minimum de choses possibles pour faire passer l’émotion. Lorsqu’il change de vitesse, sa main heurte ma cuisse. Je m’excuse et l’éloigne. L’ambiance est glaciale. Dans un élan de tendresse toutefois, je pose ma main sur sa nuque et commence à le câliner. Il la prend et la pose sur sa cuisse. Je la retire, voyant que ça le gêne pour passer en cinquième.
    
    — Tu m’évites ?
    — Non c’est juste que je te gêne pour les vitesses comme ça.
    
    J’ai l’impression qu’il interprète mal tout ce que je fais, qu’avec lui des petits riens sans importance deviennent un motif pour me bouder. Je lui repose des questions sur sa famille, sa ville, sur des détails insignifiants mais qui sont toujours mieux que ce silence de plomb qui me rend extrêmement mal à l’aise. Je profite de ce passage à vide pour envoyer un message rassurant à Céline suite à son :
    
    Nous arrivons chez lui, il m’aide à porter ma valise jusqu’à son appartement et je découvre pour la première fois l’antre de mon doux ami. Je lui demande gentiment s’il veut me faire visiter mais il refuse, partant dans le salon.
    
    Je suis complètement déboussolée. Je ne sais pas trop ce que je dois penser. Je décide de me déconnecter et de laisser faire les choses. Je m’assieds sur le canapé à ses côtés. Il me tire à lui et regarde sous ma jupe.
    
    — Tu n’es pas épilée non plus.
    — Non…
    — Ça me déçoit beaucoup. Surtout venant de toi.
    
    En d’autres ...
    ... circonstances, j’aurais trouvé ce jeu amusant et particulièrement excitant, mais le malaise palpable qui règne en maître depuis la gare, et même avant quand j’y réfléchis, abat les murs de cette confiance en moi que je pensais si forte ce soir. Je m’approche de lui doucement, comme attirée par un aimant. Il chuchote :
    
    — Que veux-tu… ?
    — J’ai terriblement envie de t’embrasser.
    
    Nos lèvres se collent, nos langues se mélangent. Il viole presque ma bouche en introduisant profondément la sienne. Je n’aime pas trop sa manière d’embrasser, mais j’adore le contexte dans lequel il le fait, comme pour me dominer et prendre possession de moi. Il se lève, m’allonge complètement sur le canapé, écarte mes jambes et se jette sur moi en mimant une pénétration. Je raffole de ses coups de rein simulés, rapides et forts. Il enlève ma culotte et vient recommencer son manège, me mordillant le cou simultanément comme pour accroître sa domination. Je ne peux m’empêcher à cet instant d’établir la comparaison avec la bestialité coïtale des félins. Tout d’un coup il s’arrête, me regarde, m’ordonne d’ouvrir la bouche et crache à l’intérieur.
    
    — Régale-toi.
    
    Il reprend ses coups de rein pendant que j’avale sa salive. C’est la première fois que quelqu’un crache dans ma bouche. Il arrête brusquement et me fait lever. Il retire tous mes vêtements et me manipule comme une poupée gonflable qu’il viendrait d’acquérir, me faisant tourner sur moi-même pour vérifier qu’on ne l’aurait pas lésé sur la ...
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