1. Les vieilles dames


    Datte: 01/11/2021, Catégories: 2couples, douche, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral 69, double, fsodo, Partouze / Groupe attache, totalsexe, Auteur: Mince-alors, Source: Revebebe

    ... minijupe. Tu peux être sûre qu’actuellement, la Fernande a les pattes en l’air sur la table de cuisine. Les bonshommes perdent pas de temps. Avec Alban, vous ne vous voyez pas souvent, il te fait le coup de la table ?
    
    Puisque Yvonne aime le croustillant, je n’hésite pas :
    
    — Je lui fais une fellation d’entrée de jeu, ça lui calme les ardeurs.
    — Ah la maline ! J’t’adore !
    
    En descendant de voiture, elle me dit qu’autrefois, c’était la Maison de maître, la maison du propriétaire terrien de toutes les fermes alentours. Dans la grande salle à vivre, Yvonne me demande si j’ai une idée de l’aménagement.
    
    — Oui. Je veux du rustique, ce serait gâché avec du formica.
    — Allons dans la grange, tu vas y trouver ta vie. Il y a des meubles datant d’Hérode et lourds comme le diable.
    
    Cette fois, nous faisons le tour complet du bâtiment en L. Dans une grange, il y a bien ces meubles en vrai bois, l’autre est vide. Buffets, armoires et la table, dite de ferme, quel bonheur !
    
    — On demandera à Maurice et à ses bras cassés de les remettre en place.
    
    Nous continuons la visite. Dans le retour du L, il y a un cellier avec un puits dans un angle.
    
    — Personne ne sait pourquoi ils ont bâti autour du puits, dit Yvonne. Peut-être pour la fraîcheur l’été, la chaleur l’hiver.
    
    De retour dans son salon, Yvonne casse un macaron en deux, une moitié satisfait les papilles de sa langue. Je suis à la fois sur un petit nuage et gênée de tant de largesses incompréhensibles :
    
    — Yvonne, ...
    ... vous me faites vivre un conte de fées. Est-ce la réalité ? En quelque sorte, vous me faites héritière de vos biens, en quel honneur ? Je suis une inconnue…
    — Prenez l’album photo qui est sur le buffet et je vous raconte. Première page, moi et mes parents, vous voyez que ce n’est pas la richesse. Ensuite, moi à vingt ans, j’étais belle et douée pour les études et pour danser. Puis les cabarets, les photos de nu, l’argent coulait à flots. Un soir que je rentrais, j’ai donné un billet à un clochard. Nos regards se sont croisés et là, j’ai su ! Je l’ai emmené chez moi, décrassé et on a baisé jusqu’à plus soif. Si tu savais, ses yeux… Il disparaissait, revenait et je lui disais que j’avais l’argent pour vivre à deux, pour acheter un boui-boui où nous ferions fortune. Un jour, il est revenu sapé comme milord, il m’a avoué qu’il était riche à millions, mais ne voulait pas qu’on l’aime pour son argent. De colère d’avoir été berné, je l’ai foutu dehors. Tu sais ce qu’il a fait ? Il a refait la manche devant la sortie du cabaret. Là, j’ai craqué. Moi qui n’aimais que les femmes, il a été le seul homme de ma vie. Nous nous sommes mariés, à sa mort, j’ai hérité de tous ses biens et comme je suis seule au monde, je veux aider quelques jeunes femmes méritantes. Corine en fait partie. Au fait, vous vous claquez avant de baiser ?
    
    Mon « non » se noie dans mon rire clair.
    
    — C’est autant sensuel que sportif, nous deux. Surtout dans les ciseaux…
    — Vous vous cloquez un double gode long comme ...
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