1. Les vieilles dames


    Datte: 01/11/2021, Catégories: 2couples, douche, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral 69, double, fsodo, Partouze / Groupe attache, totalsexe, Auteur: Mince-alors, Source: Revebebe

    ... il me semble mouiller plus encore. Pour la longueur, nous sommes deux à partager, il rentre comme dans du beurre. Nous voilà en ciseaux reliées par une fausse queue mi molle ondulante en nous, nos doigts s’entremêlent sur nos clitos…
    
    — Pense à Monsieur Paul, bave-t-elle en ravalant sa salive.
    
    L’exhib, la masturb et ce truc ondulant dans nos entrailles nous fait jouir d’une force, je vous dis pas !
    
    Valérie tendre, hé oui, ça arrive, se penchant sur moi, me bisouille les lèvres, le nez, avoue :
    
    — Je croyais te faire peur avec le gode. T’as assuré sans broncher.
    — Sans broncher, t’exagères. Je ne suis pas resté de marbre.
    — Pour gigoter, t’as gigoté, rit-elle.
    — J’ai pensé à Monsieur Paul.
    
    Elle continue les bisous, les seins, le pubis. A-t-elle conscience que c’est elle qui me lèche les pieds ?
    
    Monsieur Paul en a eu pour son argent. Moi, j’ai une nouvelle expérience rigolote à raconter.
    
    Hypoline,
    
    La limousine nous emmène au studio de Georges pour une séance photo.
    
    Hypoline, friande de mes frasques avec Valérie, m’écoute les raconter avec délice.
    
    — C’est étrange que j’aime les claques. Peut-être à cause de la fessée qui me fait des trucs. Max est un maître, juste ce qu’il faut de douceur-douleur et il vous emmène dans des voyages délicieux. Hypoline, avez-vous été fessée ?
    — Oui, ma belle. Vous décrivez parfaitement la fessée érotique. Quand on est jeune, il faut être curieuse de tout. Que te procurent les claques de Valérie ?
    — Ce ne sont pas ...
    ... les claques, c’est la situation qui m’électrise. Je n’ai pas à me laisser dominer. Les claques ne sont qu’un prétexte. Finalement, nous sommes très viriles.
    — Si un homme vous claque ?
    — Même pas en rêve ! Ils ne jouent pas eux !
    — Diane tient beaucoup à toi, change-t-elle la conversation.
    — Avec elle, c’est une magie de sensualité.
    — Elle t’inspire…
    
    Firmin le chauffeur imperturbable tourne dans la cour de l’atelier de Georges. Nina, la maquilleuse de chatte, est là aussi. Je pose ma robe et viens me pavaner sous leur nez :
    
    — Dites-moi que je suis la plus belle…
    — Quelle pétasse, celle-là ! Habille-toi ! Allez, au boulot !
    
    Mettre des bas blancs tenus par un porte-jarretelles rouge, une blouse blanche pour ressembler à une infirmière, un faux stéthoscope autour du cou, clic-clac dans la boîte. Toute la panoplie, clic-clac et pendant qu’on y est, la mère Noël, c’est du rouge et blanc avec un peu de fausse fourrure. Je suis ridicule avec le bonnet clignotant ! Autant l’infirmière me motive que l’autre non. Clic-clac, le chaperon rouge ! Pas de loup à l’horizon.
    
    Je demande à Nina où sont les bas de laine rouge et blanc et la culotte de coton blanc. Avec, je prends la pose de l’innocente surprise ou alanguie par la photo.
    
    — Faites un calendrier, dis-je.
    — Et pourquoi pas ? Caro, en piste !
    
    Retour en porte-jarretelles, me voilà avec un casque de pompier sur la tête à tenir une fausse lance d’incendie.
    
    — Tiens pas ça comme une bite, t’attaques un incendie, ...
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