Les vieilles dames
Datte: 01/11/2021,
Catégories:
2couples,
douche,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
69,
double,
fsodo,
Partouze / Groupe
attache,
totalsexe,
Auteur: Mince-alors, Source: Revebebe
... certain âge, on devienne spécialiste de ça. Tonton David chantonne« ♫ La peinture à l’huile, c’est bien difficile, mais bien plus beau que la peinture à l’eau », puis il rigole en disant que presque toutes les peintures sont à l’eau de nos jours. Pa, Alban et la camionnette ramènent mes affaires de ma chambre d’étudiant et d’autres de fortune, tel du mobilier de jardin pour le repas, une gazinière, etc.
À la pause-déjeuner, discussion sur l’emplacement des buffets. Et conseil ô combien sublime, les têtes de lit au nord.
Le soir, Maurice revient avec Fernande, sa femme. Le tracteur ne rentrant pas dans le salon, il faut porter les meubles. Nous apprécions la convivialité de l’apéro. Le couple de fermiers est moins revêche qu’il n’y paraît. La méfiance séculaire des gens de la terre envolée, nous avons à quelques histoires de chèvres récalcitrantes.
M’man plaisante qu’il n’y a ni sommier ni matelas, qu’on ne risque pas casser les bois de lit. Maurice dit que son frère, un vrai matelassier, nous fera ça en deux jours, du vrai avec du vrai matériel. Je prends l’adresse.
22 heures, nous voilà seuls sous la nuit étoilée, nous tenant par la main, devant et dans la maison, nous sommes comme une poule ayant trouvé un couteau, nous ne réalisons pas que dorénavant nous sommes chez nous.
— Que c’est le départ pour la grande aventure, murmure Alban.
Nous pensons pareil. Un petit détail, nous devons nous approprier l’âme des lieux, débarqués le matin, il nous faut ...
... l’adopter en douceur. Je lui demande poliment :
— Madame la maison, pouvons-nous prendre une douche ? Vous, vous sentez le neuf, nous, le bouc en rut…
Nous nous savonnons en riant, gloussant. Alban bande grave, l’eau coulant entre mes seins, son cunni est torrentiel. Je jouis en tripotant ses cheveux. Je le suce en douceur sous l’eau juste tiède, je ne m’en sépare qu’après la dernière goutte avalée. Al ne reste pas mou longtemps. En forme, il me prend en levrette, je ne sais s’il se trompe, il me sodomise… Je comprends qu’il a voulu ainsi, ma rondelle le serre agréable, dit-il. Il m’écarte les fesses pour être tout en moi et ne bouge plus. Je m’en arrête de me masturber, l’eau tiède coule sur mon dos, ses mains cramponnent mes hanches. Le temps a suspendu son vol*…
Notre douche n’a pas été écologique certes, mais qui n’a pas fait cela une fois ?
Je sais, j’ai pompé.
Au réveil, nous nous étonnons de ne pas avoir de courbatures. Donc, dormir sur du dur la tête au nord serait bénéfique. Pas le temps de faire de cochonneries matinales, mais Alban me câline en disant :
— Caro chérie, tu as été formidable hier soir. Un instant magique, c’est parti des orteils, une onde qui me brûlait partout jusqu’à la couille. Souffrir et jouir…
— La fatigue, le stress, dis-je souriante en lui posant un bisou sur le nez.
Ou l’âme des lieux…
Pour un dimanche, cela ne plaisante pas, Pa, tonton David, Alban et moi à la peinture, Maman et tante Sophie récurent, lavent, font les ...