1. Les vieilles dames


    Datte: 01/11/2021, Catégories: 2couples, douche, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral 69, double, fsodo, Partouze / Groupe attache, totalsexe, Auteur: Mince-alors, Source: Revebebe

    ... vrai.
    
    — Petite garce, ça va te calmer !
    
    Je cède toute résistance, elle me repique debout. H impassible ne se mêle pas de notre discussion.
    
    — Je m’incline devant la force.
    — La force ou ça ! brandit-elle sa cravache.
    
    Marika effleure la peau de mes cuisses avec, soulevant la mini, elle monte, elle monte. C’est un combat perdu d’avance pour moi. Si je m’enfuis, elle gagne ; si je laisse faire, elle gagne aussi. Duvet hérissé, avec dignité, je laisse la cravache me fendre la fente, à dénicher le clito. Regardant fixement Marika, je m’agite dessus. Elle voit ma jouissance, s’en délecte.
    
    — Marika, c’est immonde ce que tu me fais…
    — Oui, ma chérie.
    
    H, silencieux, a le regard trouble. Devant lui, devant elle, je jouis sur une lanière de cuir en me massant les seins à travers la robe.
    
    — T’assumes grave ! retire-t-elle sa cravache pour me caresser les joues avec. T’as intérêt à assurer pour les photos !
    
    Je n’ai pas le temps de répondre qu’elle se tourne vers H :
    
    — Ne joue pas avec elle, Caroline est une gonzesse à gonzesse.
    
    Marika me tire, me galoche, je participe grave et elle part sans un mot.
    
    — Vous vous entendez super bien, c’est excellent pour le boulot, se frotte-t-il les mains.
    — Je ne veux ni être torturée ni avoir de marques sur le corps.
    
    H se lève, me tend la main, je la serre. Nous venons de signer le contrat. Les séances dans un mois, me précise-t-il. De retour au bureau, Hypoline veut savoir.
    
    — Je retrouve Marika, c’est graveleux ...
    ... entre nous.
    — Raconte.
    — Cet été au club, nous invitions toujours une cliente à danser avec nous. Une fois, elle s’est imposée, a voulu me dominer, même pas en rêve, c’est mon club, mes fans. Je crois qu’elle a cédé en toute intelligence. Le lendemain, elle me fessait dans le bureau du patron.
    — C’est un personnage ! Tu sais quoi, des messieurs viennent la voir pour être fouettés ou promenés en laisse dans son jardin. À certains, elle les fait pisser contre un piquet ou boire à quatre pattes.
    
    C’est vilain de se moquer, mais tant pis, j’éclate de rire. Ce n’est pas une caricature, cela existe en vrai.
    
    Avant de m’endormir, je me masse les seins, m’amuse avec les tétons qui transmettent au clito qui, lui, réclame un doigt que je lui refuse. Ces futures séances de photos me stressent agréablement l’imagination. Et toutes ces pratiques dont je ne me doute pas, je m’en pince le téton. J’ai un flash, je suis prise par devant, par-derrière, le clito hurle d’avoir son doigt, je refuse en serrant les cuisses pour le faire taire. Je ne vais plus sentir mes seins demain tellement je pince, j’étire. Deux queues imaginaires en moi, je jouis réel, cuisses serrées.
    
    — C’est dingue la vitesse de ce qui t’arrive, me dit Edwige.
    — Je fonce vers un but que je ne connais pas sans me poser de questions et surtout pas celle qui m’offre un avenir sur un plateau.
    — Caro chérie, on ne t’offre pas ton avenir, on te donne une chance d’avoir un avenir sur un plateau. Si on n’a pas certaines ...
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