Les vieilles dames - Histoires de Sexe

Les vieilles dames

... tellement fendue qu’on ne sait pas si c’est une robe… Si tu me l’offres, on ne pensera pas que je suis une salope de la porter, mais que tu es le plus heureux des hommes d’avoir une si belle nana à ton bras.
— La logique féminine est subtile, dit-il très sérieusement.

Tout à coup, dans la pièce règne une ambiance électrique bienveillante. Appuyée contre un chambranle, Al me masturbe tout en me mordillant les tétons. Je déboutonne sa braguette, il n’a pas de boxer, je m’agrippe à sa bandaison. Malin, il me fait jouir sur sa phalange à peine pénétrante sur laquelle je m’agite. Toute frémissante encore, à genoux, je te l’engloutis, Chéri ne résiste pas longtemps. Heureusement, le montant de la porte le soutient à son tour.

Libres le week-end prochain, je vais la prévenir dès demain pour sortir les meubles le samedi, lavage, encaustique et les installer le dimanche.

— Bonjour Yvonne, dis-je en lui tendant les macarons.
— Oh, la coquine, mon péché mignon.

Je lui dis pour les meubles, la voilà au téléphone. Le fermier propose 7 h samedi matin, que c’est d’accord.

— Yvonne, je vous avais promis une petite anecdote avec mon cousin.
— Racontez, se colle-t-elle une moitié de macaron dans la bouche.

Je lui dis que, petit, il zieutait ma culotte, que j’en jouais. Puis notre rencontre inopinée, il y a à peine six mois, nous avons évoqué ces souvenirs et bizarrement, nous avons eu une pulsion de faire un truc. Il m’invite au club, ce fut mon premier cunni masculin et ...

... aussi ma première fellation. Étant cousins, nous n’avions pas voulu aller plus loin. Et vous connaissez la suite.

— C’est trop mignon, d’une naïveté coquine…

Et hop, une moitié de macaron. Son œil brille d’un souvenir :

— Caroline, mon cousin était plus pervers. J’avais droit à la fessée, je sentais sa queue contre mon ventre et ça finissait par une pipe. Tu sais quoi, j’aimais ça parce que je défiais les soi-disant bonnes mœurs de l’époque.
— Hypoline, puis-je vous soumettre une idée ?

C’est elle la patronne donc je dois proposer, pas imposer. Mon idée est que, à partir de la parure en corde élastique, de créer une collection que l’on appellerait « Ficelle », ce qui permettrait d’y ajouter le string et le soutif en corde sans tissu et d’autres créations à venir.

— Adopté !

Elle téléphone au fabricant qui nous donne rendez-vous vendredi matin, se tournant vers moi :

— Vendredi après-midi, on ira faire une promo dans la boutique proche.

Elle ne perd pas le nord. Hypoline me demande pour ma future maison. Je lui parle de ce que je compte faire, des meubles d’époque hyper lourds, mais trop classe.

— C’est un petit trésor qu’Yvonne te confie. Pas cette semaine, les deux autres, tu les prends pour faire ton déménagement. Comme ça, ce sera classé. Sauf les vendredis.
— Patronne, vous êtes un ange !
— Demain à 15 h, le patron de la boîte de matériel de bondage a une proposition à te faire. Ça paye bien, t’as besoin de trucs pour ta maison…
— Du bondage, ...