Où ma femme persiste et signe...
Datte: 05/08/2018,
Catégories:
fh,
vengeance,
noculotte,
Oral
pénétratio,
occasion,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Auteur: Monkypython, Source: Revebebe
... entrouvrit ses lèvres, lécha presque timidement le méat ouvert, puis toute la pointe qu’elle porta à sa bouche, ses lèvres descendirent doucement le long du membre raide pour en engloutir la plus grande partie. Une main à la base de la queue et l’autre refermée sur les bourses, Maria entama une fellation avec une perverse application. Elle n’arrêtait pas de tourner la tête dans ma direction pour me lancer un regard empreint de toute la provocation possible tandis qu’elle suçait la queue d’un autre homme.
Elle cherchait à me fixer dans les yeux, elle affichait son défi. Jamais je ne lui avais connu ce regard, cette expression de désir si intense, j’avais du mal à reconnaître ma femme en cette furie. Le bienheureux, avachi sur le canapé, se laissait porter par le plaisir de cette fellation et caressait les cheveux et le visage de sa bienfaitrice. Cette dernière, petit à petit, accéléra la cadence de ses va-et-vient et se mit à pomper ardemment le gros sexe. Aucun homme ne pouvait subir ce traitement bien longtemps. Très vite, Philippe se cambra et éjacula dans la bouche de ma femme qui attendit que le dernier jet de semence vienne frapper le fond de son palais pour sortir la queue de sa bouche. Elle avait avalé pratiquement tout le sperme de Philippe, seul un mince filet de foutre coula à la commissure des lèvres.
Vicieusement, elle le récupéra sur son petit doigt qu’elle mit dans sa bouche, passa la langue sur ses lèvres et, après avoir déglutit une dernière fois, ...
... affirma à son cavalier :
— Que c’est bon ! Je n’en ai pas perdu une goutte. Ne bouge pas mon chéri, je vais mettre un peu de musique et je reviens. D’accord ?
— D’accord, je ne bouge pas.
— Tant mieux, tâche de reprendre un peu de force en attendant.
Elle se releva, détourna à regret ses yeux de la queue luisante de salive et qui perdait peu à peu de sa vigueur, alla choisir un disque et s’accroupit de dos au pied de la chaîne, appuyée sur les jambes et sur les coudes. Incrédule, je compris en même temps que l’invité d’honneur que la musique était seulement un prétexte pour s’exhiber sans vergogne devant nous.
Dans cette posture, la minijupe retroussée autour des reins parvenait à peine à couvrir le départ de la raie du cul de ma femme qui n’avait plus de petite culotte. En arrondissant et en tendant sa croupe, Maria qui avait considérablement écarté les genoux sur le carrelage ciré, avait largement ouvert sa raie fessière et offrait à nos yeux un gros plan sur les parties les plus intimes de l’anatomie d’une femme. Son anus semblait nous regarder comme un œil borgne ; sa toison de brune mettait en valeur le rose de sa vulve ouverte sur son clitoris et sur son orifice vaginal béant.
Comme si de rien n’était, cette hypocrite s’attarda sur la chaîne, cherchant à effectuer des réglages de sons parfaitement inutiles tout en tortillant des fesses pour les ouvrir davantage ou pour offrir tous les angles de vue possibles. Par moments, elle tournait son regard vers nous et ...