1. Où ma femme persiste et signe...


    Datte: 05/08/2018, Catégories: fh, vengeance, noculotte, Oral pénétratio, occasion, Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Monkypython, Source: Revebebe

    Dans le premier épisode : «Promesse de vengeance »
    
    Mon épouse chérie apprend mon infidélité et promet de me rendre la pareille devant mon meilleur ami. Ce dernier profite de la situation, comprend qu’il a toutes ses chances en voyant ma chérie légèrement pompette. Il arrive à ses fins et la baise sur le canapé juste quand j’arrive avec un voisin.
    
    Penaud, Philippe avait regagné le canapé en se rajustant et en refermant sa braguette le plus discrètement possible, en essayant de ne pas avoir l’air de celui qui venait de sauter la femme de son pote. Ce fut le moment que choisit ma chère épouse pour revenir dans le salon. Je ne saurais dire ce qui me choqua le plus de son attitude ou de sa tenue : son chemisier toujours déboutonné cachait à peine ses seins dont les mamelons pointaient très ostensiblement sous le léger tissu, sa jupe ouverte dévoilait sa culotte à chaque mouvement.
    
    Bien campée au milieu de la pièce, elle nous regarda tour à tour de l’air de quelqu’un à qui il vient d’arriver une bonne blague et dit :
    
    — Je ne sais pas ce qui a pu se passer. Pourtant je n’ai pas la cuisse légère. Je n’avais jamais fini un repas quasiment à poil à encourager un homme à me prendre dès que mon mari a tourné le dos, même avec un bon coup dans le nez.
    — Tu as vraiment trop bu aujourd’hui.
    — C’est fou ce qui peut arriver en quelques minutes. Tu n’aurais jamais dû m’abandonner entre les pattes de ton ami. Il a eu vite fait de balayer mes pauvres défenses et je n’ai pas compris ...
    ... comment il a fait pour passer entre mes cuisses. Peut-être que c’était ce que je voulais ! En fait quand tu es entré, j’étais juste en train de me dire qu’en dehors du lit, c’est sur le canapé que je préférais me faire sauter. Franchement, ce n’était pas un viol, j’étais saoule, mais on ne peut plus consentante. Et c’est très bien le septième ciel avec lui, il sait y faire le coquin.
    — Bon, n’en parlons plus.
    — Pas de chance, ton copain avait à peine eu le temps de me baiser quand tu es entré. Tant pis pour moi, mais quand je vous ai vus, toi et l’autre imbécile de voisin, je me suis sentie coupable, je n’ai pas pu m’en empêcher, va savoir pourquoi, j’ai eu le mauvais réflexe de partir comme une voleuse.
    — Ce qui est fait est fait, tu as cédé à Philippe parce que tu étais fâchée et saoule, tant pis, ce n’est pas la fin du monde. On oublie tout, on dira qu’il ne s’est rien passé.
    — Comment rien passé, alors pour toi c’est comme si je n’ai rien fait ?
    — Tu as fait une bêtise, mais ce n’est pas grand-chose.
    — Ça alors, je n’en reviens pas, tu trouves que je n’ai rien fait ? Ça fait presque une demi-heure que ton copain me baise, il m’a prise dans toutes les positions, debout, couchée, par-devant, par derrière, il m’a sautée sur le canapé sous tes yeux, il m’a remplie la chatte de foutre et toi, tu trouves que ce n’est pas grave ?
    — N’en parlons plus.
    — Parlons-en au contraire. Je croyais ou plutôt j’espérais que tu serais fou de jalousie, je croyais que tu allais crier, ...
«1234...7»