1. Où ma femme persiste et signe...


    Datte: 05/08/2018, Catégories: fh, vengeance, noculotte, Oral pénétratio, occasion, Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Monkypython, Source: Revebebe

    ... ?
    
    Philippe parvint à peine à formuler un oui audible, mais son doigt devait s’enhardir dans le con de ma femme. Je ressentais presque physiquement comment il la pénétrait, explorait l’intimité de son sexe ; j’imaginais qu’il écartait les lèvres chaudes, introduisait plusieurs doigts dans la fente trempée et si hospitalière, et aux mouvements de son bras, je devinais sans peine qu’il allait et venait en elle en un simulacre de possession sexuelle. Campée devant lui, les yeux mi-clos, celle-ci s’abandonnait à cette caresse.
    
    Puis elle se pencha sur lui en avançant un peu plus son bassin et l’embrassa avidement. Bien chauffé, celui-ci ne se fit plus prier pour lui rendre son baiser et travailla frénétiquement l’entrecuisse de ma femme dont les seins, curieusement resserrés l’un contre l’autre par les pans du chemisier, venaient à nouveau de jaillir du décolleté déboutonné pour pointer chacun leur mamelon dressé vers notre ami. Maria ne se contentait plus de goûter passivement la caresse de Philippe et promenait une main sur l’énorme bosse qui déformait le pantalon. Elle murmura :
    
    — Je peux te toucher, moi aussi ?
    — Euh ! Si tu veux !
    — Ça s’est passé si vite tout à l’heure ! Tu vas voir, maintenant qu’on a le temps, je vais bien m’occuper de toi.
    
    Religieusement, elle s’agenouilla à ses pieds, défit les boutons de la ceinture et de la braguette un après l’autre et glissa la main sous le slip tendu. Un bon moment, elle explora à tâtons les parties sexuelles de ...
    ... mon ami avant de ressortir sa main. Puis elle se dégagea à peine pour tirer vers le bas les vêtements de Philippe tandis que celui-ci souleva légèrement le bassin pour lui faciliter la tâche.
    
    Il était plutôt bien membré, le cochon ! Je ne pus m’empêcher de le jauger par rapport à moi : sa queue me parut conséquente, aussi grosse, aussi longue que la mienne, et tellement raide qu’elle semblait énorme. Maria, toujours agenouillée à ses pieds, contemplait le sexe mis à nu avec les yeux d’une gamine à qui on vient d’offrir son plus beau jouet. Elle osa enfin avancer une main pour l’effleurer du bout des doigts et déclara :
    
    — Tu as une belle bite, tu sais ! Je savais que je ne serais pas déçue. Et ce qui me rend encore plus heureuse, c’est de savoir que c’est pour moi que tu bandes si fort. Laisse-moi faire.
    — Devant ton mari ?
    — Oui, au contraire, ça m’excite pas mal de faire des cochonneries devant mon mari, pas toi ?
    — Je ne sais pas.
    — Tu te rappelles, j’avais promis de te sucer à la première occasion ?
    — Oui, c’est vrai, mais je ne pensais pas que ça allait se passer comme ça.
    — Je suis encore plus intimidée que toi, tu sais, c’est comme un examen pour moi, je l’ai déjà fait, mais je n’ai pas l’habitude de sucer un autre homme que mon mari. Tu crois que je vais faire ça bien ?
    — J’en suis sûr.
    — Tu vas voir, je vais faire de mon mieux.
    
    Toujours avec des mouvements très lents, elle commença à le branler, et décalotta le gland. Puis elle approcha son visage, ...
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