1. Où ma femme persiste et signe...


    Datte: 05/08/2018, Catégories: fh, vengeance, noculotte, Oral pénétratio, occasion, Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Monkypython, Source: Revebebe

    ... seulement tu es saoule, mais en plus tu es dingue. Non, je ne suis pas d’accord.
    — On s’en fout que tu sois d’accord ou pas. De toute façon, avec ou sans ton consentement, je vais encore me faire baiser par Philippe. Tu peux regarder et tenir la chandelle si tu veux.
    — Tu veux vraiment le faire ? Après tout, c’est ton cul, c’est toi qui décides. J’ai créé une situation tordue et je l’assume. Jamais je n’aurais pensé qu’on en arriverait là, mais puisqu’on y est, je ne t’empêcherai pas de coucher avec qui tu voudras. Si tu veux être une salope et si c’est à Philippe que tu veux donner ton cul, qu’il en profite. Que ce soit lui ou un autre qui te passe dessus, ça m’est égal.
    — Sois mignon, encourage-le, dis-lui que je suis une bonne affaire au lit.
    — Une salope conne et saoule ! Tu peux aller te faire foutre.
    
    Maria se tourna alors vers Philippe, sourit ironiquement en levant cérémonieusement les bras au ciel et lui dit :
    
    — Me faire foutre, mais c’est exactement ce que j’ai l’intention de faire, mon chéri. Tu sais, Bernard, ton copain s’en fout que je sois une conne, ce n’est pas une intellectuelle qu’il a envie de baiser, ce qu’il veut, c’est une bonne salope, bien cochonne et bien soumise avec lui. Et il va pouvoir vérifier à quel point je deviens cochonne et désinhibée quand j’ai bu. Et toi, qu’en penses-tu, Philippe ? N’est-ce pas que la vie est belle ? Tout à l’heure, j’étais encore une épouse sérieuse et fidèle qui ne pouvait pas envisager de tromper son mari. ...
    ... Et maintenant que j’ai fait cocu mon mari, j’ai le feu au cul et je n’ai qu’une envie, c’est de recommencer. Tu vas pouvoir me baiser tant que tu voudras, et je te promets que tu ne vas être déçu, je ne me vantais pas tout à l’heure, j’aime vraiment la queue, tu vas voir.
    
    Toujours au milieu du salon, elle passa alors les mains sous sa jupe, fit descendre sa petite culotte sous nos yeux comme s’il s’agissait de la chose la plus normale pour une femme mariée de se déculotter devant un invité, puis releva les pieds l’un après l’autre pour la quitter. J’étais estomaqué de la voir faire ça, c’était un geste éminemment provocateur, d’une sensualité torride. Elle s’avança tout près de Philippe en faisant crânement tournoyer la culotte au bout de son index et laissa tomber le sous-vêtement sur les genoux de mon ami en disant à mi-voix :
    
    — Et voilà, plus de culotte, plus rien à craindre de mon mari, plus rien pour te gêner. Mon minou est à toi, et tout le reste avec.
    
    Philippe ne répondait rien, attendait la suite des événements sans la quitter des yeux. Il se laissa prendre la main et déglutit quand elle le guida entre ses cuisses. Elle chuchota :
    
    — Ne fais pas le timide, tu as la permission du propriétaire. Je t’en prie, caresse-moi. Oui ! Comme ça ! Bravo, oui, n’aie pas peur, vas-y avec tous les doigts que tu veux, tu sais bien ce que j’aime. Ça t’excite de me voir dans cet état, non ? Je suis encore plus mouillée que tout à l’heure. Tu sens comme j’ai envie de toi ...
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