Perversion en famille (5) - Histoires de Sexe

Perversion en famille (5)

... caressant de ses deux mains ma poitrine. Tout occupée au plaisir montant, je n’ai pas vu Laureline se lever pour se harnacher de son gode ceinture qu’elle enduit de gel.

Clémentine me demande de me pencher en avant et je sens un doigt mouillé de sa salive me caresser la rondelle avant de me pénétrer le plus loin possible.

— Ouhhh, tu me fais quoi là, Clem ?

— Rien, je prépare ton petit trou, tu vas aimer, tu vas voir.

Je comprends ce que veulent mes filles. J’ai cependant une légère appréhension, je n’ai pas trop l’habitude d’être sodomisée, la dernière personne ayant utilisé cette voie n’étant autre que Frédéric, il y a six mois. Je sens le dildo à l’entrée de mon antre qui me pénètre lentement. J’ai l’impression qu’un énorme pieu me force. Un moment de répit et c’est le départ d’une frénésie sexuelle. Par-devant, Frédéric me pilonne et, par derrière, Laureline s’occupe de mon petit cul qui, même s’il n’avait pas été forcé depuis plusieurs mois, s’est très vite adapté à la grosseur du gode. Et si au début, j’ai ressenti une légère douleur, cette dernière a très vite disparu pour laisser place au plaisir. Je sens mon boyau anal se dilater afin de laisser toute la place au gode qui le défonce.

Je savoure cette double prise, ma tête repose sur le thorax de mon fils et tout mon être tombe dans un plaisir indescriptible sous les coups de boutoir de mes deux enfants chéris. Parfois, alors qu’ils ralentissent, je prends le relais par de profonds et rapides mouvements ...

... de mon bassin qui permettent de m’empaler au maximum sur les deux verges offertes, une naturelle et une de silicone, mais toutes les deux aussi efficaces. Clémentine a relevé ma tête pour m’embrasser à pleine bouche. Très rapidement, des vagues de plaisir me submergent, mon corps est en sueur, ma respiration saccadée, je mords une épaule de Frédéric puis je pousse un hurlement de jouissance. Un orgasme terrible me traverse, je m’effondre sur mon fils, épuisée d’avoir tant joui. Frédéric se retire de mon antre, noyé de cyprine, et d’une main se masturbe.

— Approchez-vous vite, sœurettes, je vais exploser !

Les deux sœurs prennent la verge de Frédéric en mains et impriment de très rapides va-et-vient, tout en engloutissant son membre à tour de rôle. Et très vite, c’est au tour de Frédéric de jouir. Il expulse de puissants jets de sperme par saccades qui atteignent les visages de mes deux filles, la semence dégoulinant de leur front sur leurs paupières et leurs joues. Elles se lèchent mutuellement le visage pour ne perdre aucune goutte de ce précieux nectar. Ma bouche a trouvé celle de mon fils afin que nos langues et nos salives se mélangent. Une odeur de sexe règne dans la chambre de nos ébats.

— Merci mes amours, je vous aime tellement. Et vous me le rendez si bien, je n’ai jamais eu un tel orgasme. Savoir que c’était vous qui vous occupiez si bien de chacun de mes trous a décuplé mon plaisir.

— Pour nous aussi, mamounette, c’était super. Après j’ai quand même un ...