Perversion en famille (5) - Histoires de Sexe

Perversion en famille (5)

Bonjour, je m’appelle Christine, 45 ans, mariée à Nicolas, et en moins d’une journée, ma vie vient de basculer dans la débauche. J’ai franchi le tabou extrême de l’amour incestueux en jouissant successivement dans les bras de mon fils, Frédéric, puis de mes deux filles, Laureline et sa sœur aînée Clémentine.

Je garde les yeux fermés, je me laisse glisser dans un état de béatitude. Malgré tout, de nombreuses questions traversent mon esprit. Et d’abord des interrogations à mon sujet, mon couple, ma famille. Comment va réagir Nicolas s’il apprend un jour ce qui vient de se passer ? Et mes enfants, ne me feront-ils pas des reproches plus tard, peut-être quand eux-mêmes seront parents ? Et tout simplement comment continuer à vivre normalement alors que mes désirs sont, aux yeux de la plupart des autres personnes, tabous, immoraux, interdits ? Et qu’a voulu sous-entendre tout à l’heure Laureline avec Nicolas ? Aurait-il eu lui aussi des rapports incestueux ? Mais pour l’instant, je savoure ce moment de profond bien-être auprès de Clémentine.

Je suis tellement bien, étendue à ses côtés, toutes les deux dans le plus simple appareil et appréciant ces instants de calme qui suivent un orgasme. Je suis allongée sur le dos tandis que Clem, c’est le surnom de mon aînée, est sur le côté et négligemment me caresse un sein, les yeux fermés et un sourire aux lèvres. Comme la vie est belle parfois, je voudrais que ce moment ne s’arrête jamais, tout est calme dans la maison, pas un ...

... bruit.

— Coucou, c’est moi.

J’ouvre les yeux, c’est Laureline qui revient. Je ne l’avais même pas entendue sortir, sans doute trop occupée à partager notre plaisir avec sa sœur. Mais soudain, mes yeux fixent un point situé plus bas, précisément au niveau de ses hanches : elle porte un gode ceinture !

— Laureline ! C’est quoi ? Enfin non, je sais ce que c’est, mais pourquoi as-tu mis ce... jouet ?

— Je t’aime énormément maman, mais parfois tu poses de ces questions ! Il me semble pourtant que l’utilisation de ce bel objet ne fait guère de doute. Et j’aimerais, enfin nous aimerions avec Clem, l’utiliser en ta compagnie. Tu es d’accord ?

— Oh mes chéries, mais vous êtes encore plus folles que moi d’oser me demander cela. Où va-t-on s’arrêter ?

— Allez petite maman, ne t’inquiète pas, cela ne pourra que te faire du bien, fais confiance à tes deux filles.

— Vous êtes vraiment de véritables diablesses, mais... d’accord. Par contre, cela sera la première fois pour moi, je n’en ai jamais utilisé un. Avec qui d’ailleurs aurais-je pu ? J’ai 45 ans et j’ai l’impression que c’est moi l’élève avec vous deux ; malgré votre jeunesse, vous avez dû avoir plus d’expériences que moi. Je suis dépassée, mais aussi très excitée, je dois bien l’admettre.

— Eh, tu es encore jeune ! De plus, il n’y a pas de limite d’âge pour ce genre de jouet. Et si je dois être ton professeur, j’en serais ravie, mamounette chérie. Même si je pense qu’au point de vue perversité, je n’ai rien à ...