Perversion en famille (5) - Histoires de Sexe

Perversion en famille (5)

... côtés. Je suis heureuse, mes deux filles m’ont permis de jouir à plusieurs reprises et nous sommes maintenant allongées toutes les trois, moi sur le dos et mes deux filles sur le côté, leur tête reposant sur mes épaules. Nous ne parlons pas, mais ce n’est pas nécessaire, nous avons traversé les mêmes instants de plaisir extrême. Chacune de mes filles me caresse très tendrement un sein, sans forcément chercher à me procurer du plaisir, des gestes traduisant simplement une grande tendresse entre elles et moi.

— Ouh, ouh, c’est moi, où êtes-vous ?

C’est la voix de Frédéric, il est donc déjà rentré de sa sortie VTT ou alors je n’ai pas vu l’heure passer. Je me lève d’un bon et je demande à mes filles d’en faire de même.

— Vite, levez-vous, il ne faut pas que Frédéric vous trouve ici ?

— Pourquoi cela maman ? Où est le problème ? me demande Clémentine.

— Le problème, c’est tout simplement qu’il va me voir nue avec mes deux filles allongées à mes côtés et toutes les trois sur un lit. A quoi va-t-il penser ?

— La conclusion à tirer d’une telle situation me paraît être évidente, tu viens ou tu vas faire l’amour avec nous. Où est le problème ?

— Le problème, c’est que vous êtes mes filles...

— Oui, je confirme. Comme Frédéric est ton fils ! Et il me semble qu’hier soir, alors que tu étais montée dans sa chambre, pour lui indiquer où ses affaires étaient rangées, vous avez fait bien plus.

C’est vrai que Clémentine a tout à fait raison, je vois mal Frédéric ...

... faire la moindre remarque compte tenu de ce qui s‘est passé entre nous. De toute façon, il est bien trop tard pour se décider, car la porte s’ouvre et Frédéric entre. Il paraît surpris de nous voir toutes les trois nues, mais pas tant que ça finalement.

— Maman, avec Clem et Laureline ! Dites-moi, vous n’avez pas dû vous ennuyer toutes les trois. Je ne sais pas pourquoi, mais cela ne me surprend qu’à moitié.

— Allez, viens vite nous rejoindre grand frère, je suis sûr que maman n’y verra pas d’inconvénient. Clem, je n’en parle pas, je sais qu’elle n’attend que ça depuis bien longtemps, tout comme moi d’ailleurs !

Mes trois enfants me regardent alors, attendant ma réponse, chacun avec un grand sourire aux lèvres. Je devine parfaitement leurs intentions et j’avoue que je suis très tentée par cette nouvelle expérience. Je sens mon sexe recommencer à mouiller.

— Difficile de dire non, surtout quand la demande vient de mes trois chéris. Et puis personne ne le saura et, de toute façon, au diable ce qu’on pourrait penser de nous. Simplement ton père –si Nicolas n’est pas le père biologique de Frédéric, il l’a élevé depuis qu’il est bébé et mon fils l’appelle papa – il n’est quand même pas avec toi, j’espère ?

— Non, n’aie pas peur, il est parti faire des courses.

— Tant mieux, je ne voudrais quand même pas qu’il soit au courant de notre relation si... particulière.

Pendant que je prononce ces mots, Frédéric s’est déshabillé. Il est maintenant nu face à nous, sa ...