Perversion en famille (5) - Histoires de Sexe

Perversion en famille (5)

... verge n’étant pas encore parfaitement raide. Laureline frappe dans ses mains de bonheur.

— Oui, trop contente, Fred avec nous. Mon salaud, tu en as de la chance, trois femmes assoiffées de sexe rien que pour toi !

— Toujours aussi directe, Laureline, même si je ne te donne pas tort sur ce coup. Poussez-vous toutes les deux et laissez-moi une petite place, me voilà.

Frédéric s’allonge entre ses deux sœurs et prend la place que j’occupais peu de temps avant. Laureline, toujours légèrement plus délurée que Clémentine, met immédiatement la main sur le sexe de son frère et débute de légers mouvements de masturbation.

— Alors Fred, cette sortie VTT avec papa, sympa ?

— Oui, sœurette, mais beaucoup moins agréable que ce que tu me fais subir en ce moment.

Il est vrai que mon fils a l’air d’apprécier le traitement de sa sœur, sa queue est maintenant parfaitement raide. Clémentine a finalement décidé de participer à la fête et se penche pour lécher la peau des bourses de Frédéric avant de les gober l’une après l’autre et de sucer le gland de son frère, pendant que Laureline continue la masturbation. Elle y met beaucoup d’application, léchant bien tout le tour du gland en s’attardant sur le frein. Et comme deux sœurs ayant l’habitude de ce genre de situation, Laureline la remplace. Elle aussi joue avec le gland, mais met rapidement le manche veineux de Frédéric en bouche et le pompe avec ferveur. La queue de mon fils disparaît presque complètement avant de ...

... réapparaître, un filet de bave s’étirant entre le gland et les lèvres de sa sœur. Ce spectacle de mes trois enfants réunis ensemble dans une scène de débauche m’excite au plus haut point et, avec une de mes mains, je me caresse avec frénésie le sexe.

Il faut croire que mes deux filles sont douées, car Frédéric ne tarde pas à jouir et déverse sa semence dans la bouche de Laureline, vite remplacée par celle de Clémentine qui veut sa part.

En peu de temps, la verge de mon fils est ainsi parfaitement nettoyée. Heureusement, ce dernier ne m’oublie pas.

— Ne reste pas toute seule maman, viens nous rejoindre.

— Quand même, je suis un peu gênée.

— Tu ne vas pas nous tenir ce discours à chaque fois, allez viens.

C’est vrai que rien ne sert de lutter contre ses pulsions. Aussi, je monte sur le lit et ne sachant pas où m’installer, je m’allonge sur mon fils. Celui-ci me fait un doux baiser sur ma bouche, mais très rapidement, nous échangeons un baiser beaucoup plus fougueux. Je sens à la fois mon sexe devenir très humide et la verge de Frédéric regrossir. Une de mes filles, je ne sais pas laquelle, me caresse les fesses, pendant que l’autre me couvre de bisous dans le cou et le milieu du dos.

C’est à ce moment que Frédéric me soulève et me fait retomber sur lui. Son sexe, de nouveau dur, entre tout au fond de mon vagin ; je suis à genoux sur le lit, au niveau du bassin de mon fils, le buste relevé. C’est moi qui débute des montées et descentes sur la verge de Frédéric, celui-ci ...