Perversion en famille (5) - Histoires de Sexe

Perversion en famille (5)

... t’apprendre.

— Arrête Laureline, j’ai honte quand tu dis cela, mais je reconnais qu’il m’est impossible de lutter contre mes pulsions, je dois les assumer. Et avec Clem, vous êtes si... irrésistibles.

Pendant cette courte discussion, Clémentine s’est redressée, ses deux paumes me tenant par les joues ; elle s’approche lentement de moi pour me faire de très tendres et légers baisers sur le front et le visage. Nos lèvres se touchent, échangent un doux baiser qui se prolonge, avant de s’entrouvrir et se coller ; nos langues s’unissent et tournent enlacées. Chacune de nous entoure, de ses mains, la tête de sa partenaire, nos corps se soudent, nos poitrines s’unissent, de même que nos sexes. Nos caresses sont langoureuses et la tendresse partagée.

Clémentine descend maintenant sa tête au niveau de ma poitrine, elle lèche, mordille et tire sur mes tétons. Le plaisir me gagne rapidement, ma respiration devient plus saccadée. Puis, encore une fois, mon aînée reprend ma bouche pour un fougueux baiser. Nous sommes l’une sur l’autre, moi en dessous, mes jambes entourant maintenant ses hanches ; les mouvements conjoints de nos bassins décuplent le plaisir de nos deux sexes en contact. Des gémissements se font entendre.

Et comme seulement une trentaine de minutes auparavant, Clémentine prend possession de mon antre. Sa langue se met en mouvement, ce qui me fait mouiller rapidement, puis est remplacée par deux doigts qui fouillent mon intimité et écartent les chairs déjà ...

... chaudes et trempées de ma gaine vaginale. Des vagues de plaisir me submergent, je tire sur les cheveux de ma fille, mon corps se contracte par intermittence, je gémis en continu. Je sens que si Clémentine poursuit ce traitement, je ne vais pas tarder à jouir.

— Ouiii, continue Clem. C’est bon, si bon. D’abord Laureline puis toi à deux reprises, vous allez me tuer toutes les deux. Ouiii, ouiii...

Mais Clémentine arrête soudainement de me fouiller, se pousse sur le côté pour être remplacée par Laureline. Celle-ci, tout en m’adressant un grand sourire, dirige, alors qu’elle est à genoux, son jouet harnaché à ses hanches vers l’entrée de mon cratère. Afin de faciliter l’introduction, Clémentine m’aide à soulever mon bassin pour y glisser dessous un oreiller, mes pieds reposant sur le lit et mes cuisses sur celles de Laureline. Ma cadette me pénètre alors d’une poussée franche, mais sans aucune difficulté, mon vagin étant une véritable fontaine. Après un bref arrêt, elle débute des mouvements de va-et-vient. Si le ressenti est différent de celui d’un sexe masculin, le résultat est le même. Chaque pénétration par ce sexe factice, mais également si réel par les sensations procurées me déclenche des cris de jouissance. Mon vagin est en feu, ma cyprine coule à flots et des vagues de plaisir me submergent très rapidement.

Clémentine, quant à elle, couvre mon cou et mon visage de baisers. Et de nouveau, un orgasme me transperce.

Laureline se retire de mon antre et se couche à mes ...