Camille et les cours (très) particuliers de son fils (7)
Datte: 25/10/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: Strangemax, Source: Xstory
... culotte et alla se réfugier dans le vestibule. La professeure l’y rejoignit aussitôt :
– Quelque chose ne va pas Camille ?
– Je ne voulais pas que ça se passe comme ça…
– C’est-à-dire ?
– Cette position… C’était humiliant.
– Pas du tout, Camille, vous étiez superbe.
– C’est vous qui le dites ! Je me suis fait lécher par derrière par mon propre fils. J’étais offerte à lui comme une chienne, les cuisses écartées, le cul ouvert.
Elle était en colère mais elle prenait un malin plaisir à décrire la scène de manière obscène. Mme Prunel ne se laissa pas impressionnée :
– Il me semblait qu’il était préférable que vous ne le voyiez pas… S’il avait été face à vous, vous l’auriez eu sous les yeux en train de lécher votre entrejambe.
L’argument de Mme Prunel fit mouche et, sans oser l’avouer, Camille reconnut que c’eut été tout aussi perturbant, sinon plus.
– Je crois que je n’aurais pas dû faire ça…
– Allons, Camille, il est trop tard pour jouer lesmère-la-pudeur. Il avait déjà léché vos seins, il a léché votre sexe, cela ne fait pas une si grosse différence.
– C’est beaucoup plus intime.
– Bien sûr, mais il fallait que la récompense soit à la hauteur de l’enjeu… D’ailleurs, vous dites ça maintenant mais sur le moment cela ne semblait pas vous déplaire tant que ça…
Camille fut blessée par la pique de la professeure :
– Evidemment. Quand vous avez un jeune chien fou qui remue sa langue entre vos cuisses, il est difficile de rester de marbre. ...
... Cet orgasme provoqué par la langue de mon fils n’a fait qu’ajouter à mon humiliation !
Mme Prunel s’approcha de Camille et saisit ses mains, comme pour l’enjoindre de se rallier à ses vues :
– J’essaye juste de vous montrer le bon côté des choses, Camille : votre fils a eu sa récompense, vous avez eu un orgasme et, surtout, nous avons atteint notre objectif. Pourquoi se faire des nœuds au cerveau inutiles ?
Camille était toujours un peu intimidée quand Mme Prunel était très près d’elle, quand elle la touchait. Elle s’efforçait néanmoins de ne pas se décomposer :
– Je ne suis pas comme vous, Julie.
– Personne ne vous demande d’être comme moi. Vous êtes très bien comme vous êtes !
Camille se recula légèrement et dégagea ses mains :
– J’ai cru que je vous comprenais, mais je crois que je me trompais.
– A quel propos ?
– A propos de ce que vous faites et des raisons qui vous poussent à le faire.
– Vous voulez dire, avec votre fils ?
– Pas seulement… Avec moi, aussi… Je n’ai ainsi jamais compris pourquoi vous m’embrassiez, de temps en temps.
– Oh, il ne faut pas chercher très loin avec moi : je vous embrasse quand j’ai envie de vous embrasser.
– Vous n’avez pas souvent envie…
Mme Prunel sourit à cette remarque. Elle s’approcha de nouveau de Camille et posa ses mains sur ses hanches :
– Vous aimeriez que je vous embrasse plus souvent ?
– Si vous en aviez envie…
– Moi non plus, je ne sais pas sur quel pied danser avec vous, Camille. ...