1. Camille et les cours (très) particuliers de son fils (7)


    Datte: 25/10/2021, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Strangemax, Source: Xstory

    ... légèrement les lèvres pour mieux l’exposer.
    
    Les attouchements de Mme Prunel avaient déjà mis Camille dans un état second. Elle ne parvenait plus à réfléchir de manière raisonnable. Elle devait même se contrôler pour ne pas susurrer des insanités. Mme Prunel notait pour sa part l’épilation parfaite de sa comparse. Elle prenait plaisir à découvrir son intimité, à éprouver la douceur de sa peau sous ses doigts. Tout en profitant de la situation, elle n’en perdait pas de vue sa mission :
    
    – Baptiste, je vais te demande de t’agenouiller juste là, derrière ta maman… Tu vois ce joli sexe de femme ?... Il est superbe, très doux sur le bord, et un peu humide à l’intérieur... Elle passait en même temps ses doigts aux endroits évoqués, faisant tressaillir Camille. Tu vas pouvoir venir passer ta langue, juste là, par en dessous… Ecartez encore un peu, Camille, demanda-t-elle avec beaucoup de douceur.
    
    Le sexe maternel, déjà luisant, s’épanouit encore un peu plus. Ses fesses s’écartèrent dans le même mouvement, dévoilant un sillon interfessier parfaitement glabre et un anus rosé aux bords réguliers. C’était une vision d’une impudeur terriblement excitante, d’autant qu’il y avait là aussi quelque chose d’une grande pureté, à laquelle ni Baptiste, ni Mme Prunel ne restèrent insensibles.
    
    Baptiste tenta un premier coup de langue qui effleura à peine sa cible. Le deuxième ne fut guère plus efficace. Il fallait vraiment qu’il plonge son nez entre les fesses maternelles pour atteindre ...
    ... son sexe. Porté par un désir fou, il trouva enfin la position adéquate et put alors véritablement goûter cette vulve rose et juteuse. La consistance et la saveur étaient exquises. Il avalait avec délectation le jus qu’il parvenait à en extraire, alors que ses narines étaient saturées du doux parfum du cul de sa mère : cela le rendait fou. Il léchait de plus belle, alors que Mme Prunel pétrissait tendrement les fesses de Camille. Celle-ci n’était plus qu’une masse de chair frémissante, une boule de nerfs parcourue d’impulsions électriques puissantes. Elle gémissait. Elle criait sans s’en rendre compte. Elle fut enfin saisie par une convulsion dantesque, poussa un long râle en s’agrippant au canapé puis s’écroula au sol. Le visage de Baptiste se retrouva soudain à l’air libre, barbouillé de sécrétions et figé dans une expression idiote. Mme Prunel, elle-même, dut prendre un moment pour retrouver ses esprits. Elle finit par poser sa main sur l’épaule du jeune homme :
    
    – C’est bien Baptiste… Je crois que tu peux aller te passer un peu d’eau sur le visage et retourner dans ta chambre.
    
    Il s’exécuta, non sans jeter, avant de sortir de la pièce, un dernier regard vers sa mère, toujours inerte, sur le sol, la robe retroussée, la culotte sur les cuisses, les fesses à l’air.
    
    Une fois le garçon sorti, Mme Prunel alla relever Camille mais celle-ci repoussa sa main, visiblement contrariée. Elle ne voulait pas croiser le regard de la jeune femme. Elle se redressa seule, remonta sa ...
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