Camille et les cours (très) particuliers de son fils (7) - Histoires de Sexe

Camille et les cours (très) particuliers de son fils (7)

... ensemble.

– Alors, allons-y, finissons-en. Dites-moi ce que je dois faire.

– Je vais vous épauler mais il ne faut pas que Baptiste sente de réticence de votre part, cela pourrait avoir un effet très défavorable.

– Je ferai de mon mieux, Julie. Je sais prendre sur moi, croyez-moi.

Mme Prunel prit Camille par le bras et l’entraîna vers le salon où Baptiste attendait sagement. Malgré ses doutes, malgré ses craintes, la mère de famille s’efforçait de conserver sa contenance. Elle ne voulait rien montrer de ses faiblesses à son fils. L’enseignante jouait une fois de plus le rôle de maîtresse de cérémonie :

– Baptiste, tu as fait de l’excellent travail et tu as largement atteint l’objectif qui t’était assigné. Tu vas maintenant recevoir la récompense qui t’était promise. Camille, vous voulez ajouter quelque chose ?

– Heu… je suis très fière de toi, mon chéri… Et je suis heureuse de m’offrir… heu, de t’offrir ta récompense, dit-elle la voix mal assurée.

Elle saisit sa robe sur le côté mais ne savait pas comment il convenait de procéder. Elle se tourna vers Mme Prunel :

– Heu, je ne sais pas où on peut…

La professeure y avait réfléchi à l’avance. Elle vint prendre Camille par la main et la conduisit face au canapé.

– Mettez vos mains sur le canapé, Camille.

Celle-ci lui jeta un regard empreint d’inquiétude et d’incompréhension, ce qui conduisit Mme Prunel à préciser :

– Penchez-vous en avant et mettez vos mains sur le canapé.

Elle ...

... accompagnait sa consigne d’une légère caresse sur l’épaule. Camille craignait de comprendre mais n’osait pas exprimer clairement ses réticences. Elle commença à obtempérer tout en murmurant :

– Julie, je ne suis pas sûre que…

Mais, Mme Prunel faisait maintenant pression sur son épaule pour l’inviter à se mettre dans la position adéquate, tout en essayant de la rassurer :

– Tout va bien, Camille, ne vous inquiétez pas… Tu peux te rapprocher, Baptiste.

Alors, Mme Prunel retroussa le bas de la robe de Camille, découvrant ses longues jambes fines et son joli petit shorty. Elle passa la main sur le tissu qui couvrait ses fesses puis agrippa l’élastique pour descendre la culotte jusqu’en bas des cuisses, découvrant un cul musclé à la peau laiteuse. Baptiste admirait cette merveille sans pouvoir prononcer un mot. Camille de son côté, se contorsionnait légèrement, essayant en vain d’attirer l’attention de Mme Prunel. Celle-ci était, elle aussi, focalisée sur les charmes de la maitresse des lieux. Elle prit son ton imparable pour passer sa nouvelle consigne :

– Penchez-vous encore un peu, Camille, et écartez les jambes.

Celle-ci serra les dents et obéit, s’abandonnant pour de bon, à la satisfaction de l’enseignante :

– Voilà, très bien… Regarde ça comme c’est beau, Baptiste, dit-elle en positionnant ses mains sur ces fesses offertes, puis en faisant courir ses doigts jusqu’au bord de ce sexe qui était soudain apparu entre les cuisses, comme une fleur éclose. Elle en écarta ...