Morgan (4) - Histoires de Sexe

Morgan (4)

... passé... Mmmmh !!! Je sens sa queue me perforer l’intestin... Oh mon Dieu que c’est bon ! Si tu savais comme c’est bon ! Son gland se fraye un passage. Oh que ça fait mal, mais c’est tellement bon. Je n’ai... je n’ai jamais ressenti ça avant. Ça y est, il est au fond ! Je suis une véritable enculée, ta femme est une enculée... Mon Dieu, oui !!!

Je perds complètement la raison, mes mains agrippent toujours mes fesses bien ouvertes, je me cambre à me briser la colonne vertébrale, mes genoux et mes épaules plantés dans le matelas m’empêchent de glisser.

— Il ressort, il sort sa queue, j’ai l’impression que mon boyau suit le mouvement. Oh oui ! C’est si bon ! Il revient à l’intérieur ! Mmmh... il est doux, il est fort. Je suis prise comme jamais.

Les yeux de mon mari s’ouvrent. Son regard posé sur moi est absent. Du coin de l’œil, je vois qu’il bande lui aussi.

— Je t’aime mon amour, lui dis-je.

J’arrive péniblement à comprendre un « moi aussi » pâteux.

— Sa queue me fait tellement de bien si tu savais.

Je suis sous l’emprise de mes sensations, plus rien n’a d’importance, qu’importe si Maxence se rend compte de ce qui se passe sous ses yeux. Rien n’est plus important que la bite qui visite mes entrailles. Je lâche mes fesses pour m’accouder et embrasser mon mari pendant que mon amant continue de m’enculer, comme si de rien n’était.

— J’ai soif, me murmure Maxence.

— Ouvre la bouche, je vais te donner à boire.

Je fais tomber ma salive dans sa ...

... bouche, il s’abreuve à cette source un long moment. Puis, ses paupières papillonnent lourdement et se closent définitivement. Très vite, un léger ronflement s’échappe de sa bouche. Durant tout ce temps, Julien a continué de me travailler l’intestin avec lenteur.

Sans prévenir, il accélère le rythme, il me baise le cul. Ses mains me claquent les fesses avec vigueur. Je grogne de plaisir sous l’assaut. Je suis complètement folle.

— Plus vite ! Plus fort ! Je suis ta femelle ! Ta pute ! Pète-moi le cul ! Frappe-moi plus fort !

Les insanités que je hurle le poussent à être plus violent. Il sort maintenant sa queue en entier et, avant de replonger dans mon trou sans ménagement, il me fesse de plus belle. Je crie mon bonheur d’être ainsi traitée. Soudain, il se cabre et se vide dans mes intestins dans un hurlement d’outre-tombe. Je me branle comme une folle pour jouir presque en même temps. J’étouffe mes cris dans mon oreiller.

Après avoir repris mes esprits et nous être câlinés à côté de mon mari, je vais aux toilettes vider le trop-plein de mes intestins, j’ai du mal à rester assise. Un rapide coup d’œil dans la glace me montre que mes fesses ont une belle teinte cramoisie.

Quand je le rejoins, Julien est déjà rhabillé.

C’est en tenue d’Eve que je le raccompagne à sa porte. Nous nous embrassons passionnément avant que chacun ne rentre chez soi repu de sexe.

C’est toujours nue que je termine le nettoyage de la salle à manger, notamment les taches de chocolat qui ...