Morgan (4) - Histoires de Sexe

Morgan (4)

... notre orgie culinaire.

Une fois propre, il me penche en avant et me prend par-derrière. Ses mouvements sont amples et lents. Il ne me besogne pas, il me fait l’amour. Mes gémissements de plaisir se noient dans le jet d’eau qui nous mouille. Mon sexe s’ouvre un peu plus à chaque nouvelle entrée du sien. Son gland tapote mon col de l’utérus à chaque fois qu’il est au fond. Il reste ainsi quasiment immobile, faisant des petits mouvements circulaires qui stimulent cette zone si vulnérable. Je lui réponds en bougeant mon cul pour qu’il essaye d’aller plus loin, mais nous sommes à la limite de nos capacités physiques.

Il reprend son va-et-vient, ses mains pétrissent mes seins. Je vais jouir. Je le supplie de jouir avec moi. Il accélère le rythme. Nous crions de concert notre jouissance. Il lâche sa semence dans ma matrice qui se contracte encore sous l’effet du plaisir.

Il me faut quelques instants pour reprendre mes esprits.

***

Toujours nus, nous revenons dans le salon en nous tenant la main. Maxence n’a pas bougé. Julien se dirige vers lui et le soulève.

— Qu’est-ce que tu fais ?

— Je l’emmène au lit.

Incrédule, je l’aide. Nous déposons mon mari de son côté du matelas.

— Aide-moi à le déshabiller.

— Mais...

— Fais ce que je te dis.

II n’y a pas à discuter. Monsieur est de retour. Une fois notre forfait accompli, nous nous allongeons à côté de lui et nous nous embrassons. J’ai peur que Maxence ne se réveille, je ne suis pas très concentrée ...

... sur ce que je fais.

— Ne t’inquiète pas Suzanne, il est trop bourré pour se réveiller. Et s’il le faisait, il ne se souviendrait de rien.

Quelque peu rassurée, je m’attelle à redonner vigueur à mon amant. Après lui avoir léché le frein, embouché sa colonne de chaire, gobé ses testicules et lapé son anus, il exhibe une érection insolente.

— À quatre pattes !

Je m’exécute sans attendre, j’ai encore envie de jouir.

— Écarte tes fesses !

Je saisis mes deux lobes fessiers à pleines mains et j’expose sans aucune pudeur mon intimité. J’accompagne son entrée en moi d’un gémissement de satisfaction. Pour ne pas faire trop de bruit, je me mords les lèvres en fermant les yeux. Au chaud, la queue bien trempée par ma mouille, Julien attend. Les fesses toujours écartées par mes soins, je frémis d’impatience.

Soudain, je sens un filet de salive couler sur mon anus. Un de ses doigts masse puis pénètre mon œil brun.

— Je crois que je vais encore me salir la bite.

Je n’arrive pas à y croire, le moment tant attendu est arrivé. Il sort son sexe du mien et le présente à mon anus.

— Raconte à ton mari ce que tu ressens quand je t’encule.

— Oui, monsieur, dis-je, impatiente et soumise.

Mon corps est de feu, mon cœur bat la chamade, mes oreilles bourdonnent, mes tempes palpitent et ma peau se couvre d’une pellicule de sueur.

— Oh mon chéri... il pousse... Oh... Son gland force mon petit trou... Ça fait mal et c’est bon en même temps... Ouch !!! Ça y est, il est ...