Morgan (4) - Histoires de Sexe

Morgan (4)

... passage vers son anus.

Je n’hésite qu’une seconde avant de lui prodiguer une feuille de rose. J’essaye de faire rentrer ma langue dans ses sphincters tout en branlant doucement sa belle bite.

— Ah ! Petite chienne, gémit-il les yeux fermés.

Je reviens sur son gland pour prendre une nouvelle dose de mon dessert.

Il me faut bien dix minutes pour finir ma mousse au chocolat. Sa queue, ses testicules, son anus ainsi que la chaise et le parquet sont recouverts de salive marron. Je n’ose imaginer mon visage, mais quand je vois l’état de mes mains, de mes seins et de mon ventre où se trouvent des traînées glaireuses chocolatées, je ne dois pas être belle à voir.

— Regarde-moi ça, ma bite est toute sale maintenant. Il faut que je la lave. Allonge-toi sur la table !

Prestement, je lui obéis. Ma tête touche celle de Maxence qui ronfle gentiment. Julien écarte mes cuisses et me pénètre d’un coup. Je crie mon plaisir.

— Il faut frotter vigoureusement pour que ça parte.

Il accélère brutalement, je suis secoué comme un prunier, mais aussi la table, ainsi que Maxence qui glisse dangereusement vers le bord. Tout en couinant de plaisir, je suis obligée de l’étreindre si je ne veux pas qu’il tombe par terre.

Julien sort sa queue de mon fourreau et dit, dépité : « ça ne veut pas partir. Il faudra prendre une douche. Mais en attendant, je n’ai pas pris mon dessert. »

Il dépose une noisette de mousse au chocolat sur mes tétons et, tout en remettant sa queue au ...

... chaud, il les déguste avec gourmandise. Ce mélange de rudesse et de tendresse est extraordinairement excitant. Je gémis de plaisir et je sens mon vagin se contracter doucement autour de son sexe.

Quand il finit de manger, mon buste est marron.

— Tu ressembles à une truie comme ça.

Pour toute réponse, je rougis et j’essaye de couvrir mes seins de mes bras.

— N’aie pas honte. Allez, grogne, fais la truie.

—...

— Fais la truie ! m’ordonne-t-il en me claquant les flancs.

— Grouïk.

— Plus fort !

— GROUÏÏÏÏÏÏÏK !

— Et ben voilà, tu vois ce n’est pas si dur.

Je pleure de honte et de joie mêlées. Il se penche sur moi, me serre dans ses bras et m’embrasse avec passion. Sa langue joue avec la mienne avec dextérité. Je m’abandonne totalement, rassurée par cette simple étreinte de sa part.

— Allons prendre une douche, me dit-il avant de déposer sur mes lèvres un dernier petit baiser.

Dans la salle de bain, il me montre mon visage dans la glace. Ma bouche, mes joues, mon nez, mes cheveux châtain et même un peu mon front sont maculés de mousse au chocolat. J’ai comme une trace de bronzage là où se trouvait mon collier.

— N’avais-je pas raison, tu ressembles à une truie.

— Grouïk !

Ma réponse le fait rire tandis que je sens mes joues s’empourprer.

La douche chaude me fait du bien, elle évacue la tension née du dernier ordre de monsieur. Nous nous lavons mutuellement. L’eau qui ruisselle sur nos corps emporte avec elle les dernières traces de ...