Morgan (4) - Histoires de Sexe

Morgan (4)

... Impatient, il ouvre en grand les pans de mon chemisier et en fait voler les boutons dans toute la cuisine. Je le réprimande par un petit « Julien ! » plus amusée qu’offusquée. Il dégage mes seins de mon soutien-gorge et agace mes mamelons. Je suis aux anges, je sens mon vagin prendre vie. Je colle mes fesses contre sa queue qui commence à être à l’étroit dans son pantalon.

Il me repousse, au milieu de la cuisine.

— À poil !

— Oui, Julien.

— On dit : oui, monsieur.

— Oui, monsieur.

Ma voix est ténue, je frémis, cet échange est lourd de conséquences, il me devient officiellement supérieur. Nos rapports sont déjà marqués par le sceau de la domination, mais depuis notre deuxième après-midi, je le tutoie, rétablissant implicitement l’équilibre des forces. Avec ce monsieur, je vais une nouvelle fois le vouvoyer.

Je m’exécute rapidement et me voilà nue, dans ma cuisine, devant moi, mon amant et maître me regarde avec concupiscence et derrière moi, mon mari dort.

— Finis ta vaisselle.

— Bien, monsieur.

Je suis un peu déçue et excitée tout à la fois. Mais je m’exécute. Il me laisse seule et part au fond de l’appartement, visiter son nouveau territoire.

Je suis en train de mettre la touche finale quand il me passe mon collier-de-chien autour du cou, la poignée de la laisse se positionne au niveau de ma raie culière. Je laisse échapper un soupir de contentement.

— Ta cachette est trop facile à trouver, dorénavant tes sex-toys et tes DVD seront chez ...

... moi.

— Bien monsieur.

Il m’ordonne de me dépêcher en me donnant une grande claque sur la fesse droite. Je crie de surprise et de douleur. J’aime cette sensation de brûlure qui perdure. Ma vulve est tellement trempée que mes cuisses s’humidifient. Serais-je aussi un peu maso ?

Je rince mon dernier plat et me sèche les mains. Je rejoins Julien assis à table, nu lui aussi, le sexe fièrement bandé. Il est l’image de la force virile, alors que mon mari est pour l’heure celle du flamby plus très frais.

— Et les desserts ?

— Pardon, monsieur.

Je retourne en cuisine chercher les ramequins de mousse au chocolat. J’en pose un devant lui. Au moment où je vais à ma place, il tire sur la laisse et je me retrouve à genoux entre ses jambes. Sans attendre, j’embrasse avec révérence son gland.

— Oulah ! Doucement, petite impatiente.

À l’aide d’une cuillère, il dépose une noisette de mousse au chocolat sur son gland.

— Tu croyais peut-être que j’allais te priver de dessert ? Je ne suis pas si horrible que ça, tu sais.

— Merci beaucoup, monsieur.

— Va !

Je me précipite sur ce sucre d’orge si spécial. Le mélange de mousse au chocolat, d’urine et de liquide pré-séminal est divin. À mesure de ma dégustation et de mon va-et-vient, sa queue se part d’une belle couleur marron. Des gouttes de salive chocolatée se perdent dans les poils de ses testicules, je m’empresse de les récupérer avec diligence.

— Je sens qu’il y en a plus bas, me dit-il en me dégageant un ...