1. Quadrifoglio


    Datte: 11/10/2021, Catégories: fh, fffh, couple, grossexe, grosseins, groscul, campagne, fsoumise, noculotte, ffontaine, entreseins, Oral fdanus, fsodo, délire, enfamille, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... jambes de son amoureux, sa tête et son épaule contre sa poitrine, soudain ravie de pouvoir se pelotonner dans une aura d’amour. L’aimait-elle ? Elle n’en savait rien, elle était seulement bien avec lui et heureuse de se sentir aimée. Pourtant, elle sentait bien contre sa hanche palpiter la virilité survoltée du garçon, mais n’y prenait pas vraiment garde.
    
    — Vous savez, j’ai déjà eu des amoureux, deux même. Un aux beaux-arts, l’autre au conservatoire. Le premier voulait que je pose pour lui et le second que je souffle dans sa flûte. Non, mais vraiment… et vous, vous avez déjà été amoureux ?
    — Non. Je sais ce que c’est qu’une femme, mais de l’amour… pas jusqu’à ce jour.
    
    Il ne savait pas quoi faire de ses mains, il les posa sur elle, elle ronronna comme une chatte en chaleur. Perdant ses appuis, il chuta le dos dans l’herbe, elle rampa sur lui, déboutonnant un à un les boutons de sa chemise, caressant de ses lèvres et de ses joues le torse velu. Quand ses lèvres arrivèrent à la bouche du jeune homme, elles exprimèrent toute leur voracité. Ses cuisses s’ouvrirent pour envelopper ce corps, dont les mains s’égaraient dans son dos et sur ses fesses. D’un bond elle se releva, fit voler sa robe dans les airs et se sépara promptement d’une culotte quelque peu difforme et reprisée à de multiples endroits.
    
    — Excuse-moi, minauda-t-elle confuse, mais j’économise sur ce qui ne se voit pas.
    
    Attendri par cet aveu humiliant, il vit les deux petits seins libres et fermes venir ...
    ... tenter de perforer sa poitrine en reprenant la même position. Il empoigna de nouveau les deux fesses pommées dures, ouvertes sur un sillon déjà bien humide. Le baiser reprit, encore plus profond, encore plus gourmand, et les muqueuses offertes s’humidifiaient chaque seconde un peu plus. N’y tenant plus, il se leva à son tour, quitta sa chemise ouverte et son pantalon. Le boxer apparut déformé pas le sexe turgescent qui tendait le tissu au-dessus de la ceinture élastique. Il le libéra enfin et Claudia découvrit une superbe queue, longue, épaisse, striée de veines dilatées, recourbée vers le ciel comme un soc prêt à la labourer. Ce qu’elle ignorait en s’offrant à genoux dans l’herbe tendre, c’est que Marco n’avait que bien peu d’expérience dans le domaine. Trop timide, il n’avait eu que quelques relations tarifées quand il était militaire.
    
    Aussi s’y prit-il sans le moindre ménagement. Embrochée d’un coup comme un agneau pour le méchoui, elle crut, comme dit Palmade, « qu’un porte-avions lui tamponnait la poupe ». La pauvrette hoquetait, entre douleur et sensation de comblement intégral. Incapable de formuler ne serait-ce qu’un mot, chacun de ses couinements semblait exciter le mâle en rut, cramponné solidement à ses hanches, et qui lui battait le cul de son bas-ventre. Rien ne pouvait plus arrêter le raz-de-marée qui la submergeait et dont chaque coup de boutoir faisait naître dans son ventre une vague plus puissante que la précédente. Un formidable rugissement léonin lui ...
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