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La robe à boutons
Datte: 11/10/2021, Catégories: fh, fplusag, extracon, candaul, vacances, caférestau, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Oral 69, pénétratio, confession, vengeance, Auteur: Faustine, Source: Revebebe
... trop dérangeant, trop transgressif et qu’il faut tout arrêter. Mais je n’entends que la respiration de Lionel. Alors je continue. Plus exactement je commence vraiment. Mon mari va reconnaître tout son enseignement. C’est lui qui, au fil des années, m’a appris comment faire pour lui donner le plus de plaisir possible. Jouer de la langue avec le gland. Le lécher, parcourir le sillon. Le prendre en bouche, L’aspirer, enfermé avec les lèvres pressées. Parcourir la bite avec sa langue. Bien l’enduire de salive. Ouvrir la bouche et la refermer sur la tige de chair. Avancer avec les lèvres bien serrées. Remonter. Redescendre un peu plus loin. Remonter. Redescendre encore plus loin. Envelopper les bourses avec la main. Les masser délicatement. Pousser un doigt vers le petit trou tout en les tenant bien au chaud et jouer avec le petit trou pour le titiller un peu. Voilà maintenant je le pompe. Il est trop long pour que je puisse le prendre tout entier dans ma gorge comme je sais le faire avec la bite d’Alain. Depuis un moment déjà Lionel m’encourage : — Oui. Continue. Suce-moi. Tu aimes ça, ça se voit. T’es une gourmande. Hier déjà, tu m’avais fait jouir. Encore. Et puis après quelques minutes de ce jeu, il me dit tout en me repoussant. — Viens. Sur le canapé. Il m’entraîne. Il s’allonge. Il me dit : — En 69, comme l’autre jour. Une seconde je vais protester, mais je réalise qu’il est dans le jeu de l’amant, du couple adultère qui se ...
... retrouve. Je suis face à un mur sombre. Je sais que Marc est caché derrière. Lionel a choisi l’emplacement. Mon mari est aux premières loges. Une tache blanche. Sa chemise peut-être, mais… — Ahhhh. Mon minou est exploré. Déjà la langue le pénètre et… Je me penche sur la bite. Je la redresse. Ma bouche la tient maintenant bien verticale et j’ai juste à me laisser avancer dessus. — Ohhh. C’est bon. L’homme sait y faire. Il a déjà extrait mon petit bouton pour l’aspirer. Il lui a fallu si peu de temps pour me faire jouir que si j’étais honnête je devrais reconnaître que mon inconscient avait dit « Oui » dès que mon mari m’avait parlé du cadeau… Je suce. Je lèche. Je pompe. Je gobe même les bourses qui sont gonflées. En me forçant, j’arrive à le gober aux trois quarts. Mon mari doit être fier de moi. C’est ce qu’il devait attendre. Mais une main appuie sur ma tête. Lionel veut me guider. Une main et son bassin qui monte. J’ai du mal, mais n’ose refuser. Son mandrin m’envahit. Et… — Ohhh. Des doigts ouvrent ma fente. Des doigts poussent pour faire encore plus jaillir mon clito que sa bouche aspire… aspire… Le mandrin me force. Il est énorme maintenant et lorsqu’il me libère pour me laisser reprendre mon souffle un flot de salive coule dans une fontaine glauque. Et puis je sens qu’il va jouir. C’est une sorte de battement de la tige qui gonfle sous la pression de ce qui vient et me remplit la gorge. C’est fort, chaud, généreux, deux belles couilles qui se ...