Admission - Histoires de Sexe

Admission

... Catherine doit beaucoup t’apprécier, Kristel. Elle ne m’a dit que du bien de toi, avec des mots qui évoquaient plus que de l’amitié.
— Hé, les voies de l’amour sont impénétrables ! Enfin, pas toutes…, minaude Christiane.
— Vous êtes marrantes, reprend Kristel en riant, je ne m’attendais pas à cette ambiance quand je suis entrée. J’ai plutôt vu des dames plus vieilles que moi, un peu bizarres, assez dévergondées même, excusez-moi. Là, j’ai l’impression d’être avec une bande de filles de mon âge !

Sa remarque me plaît.

— C’est la liberté du corps et des sens qui nous enlève le poids des ans, qui sait ? souris-je.

Elle continue d’une voix plus posée.

— Je peux vous le dire, maintenant, ce qui me gênait le plus c’était cette différence d’âge. Être à poil avec des copines, dans les vestiaires ou à la piscine, bon, ça m’est arrivé, bien sûr…

Mais ici, à part Brigitte, et Liliane peut-être, ça faisait beaucoup d’écart. Je n’avais jamais vu la nudité… heu, le sexe d’une femme qui… pardon(elle me regarde, ainsi que Christiane et Alexandra), qui pourrait être ma mère… Et là, il y en avait plusieurs !

Son sourire s’estompe quand elle poursuit en baissant le ton :

— C’est peut-être… non, c’est pour ça que j’ai eu si honte d’avoir joui quand mon shorty… Au fait, il est passé où, ajoute-t-elle en le cherchant du regard.
— Ici, ma puce, répond Alexandra en agitant la boule de tissu qui lui servait de coussin. Je l’ai reçu sur la figure quand on levait la ...

... jambe.
— Oh, je suis désolée !
— Pas ta faute, va ! Je soupçonne que ça venait de Liliane, rien qu’à voir sa tête… Je veux bien te le rendre, mais dans cet état, il n’est plus mettable ! Remarque, je suis d’accord avec Liliane : ton odeur intime est vraiment agréable…
— Fais tourner, vilaine égoïste, réclament plusieurs copines d’une même voix.

Kristel rougit un peu, une dernière fois, puis capitule en souriant.

— D’accord ! Comme vous l’avez dit, je n’ai plus rien à vous cacher ! De toute manière, il faut que j’attende qu’il sèche. Je partirais bien sans lui, mais ma jupe est un peu trop courte.

Pendant qu’Alexandra transmet la lingerie humide à Brigitte, je viens enlacer Kristel, un bras sous le sien à hauteur du buste. Elle se love contre moi et m’entoure également d’un bras affectueux. Ma main est posée sur son sein, mais elle ne s’en émeut pas. Elle caresse le haut de mes fesses, remonte sur mes reins, redescend plus bas, très tendrement.

— Je suis bien, murmure-t-elle, ta peau est douce, si douce…

Je cajole son petit téton qui roule et durcit sous mes doigts. Je la presse plus fort contre moi.

— Je suis contente que tu nous rejoignes, ma chérie. Je crois que tu es définitivement admise par tes nouvelles amies. Regarde.

Son shorty passe de mains en mains, si j’ose dire, car en réalité c’est d’un nez à l’autre. Michèle et Liliane y posent aussi les lèvres. Christiane prend carrément le gousset dans sa bouche, puis nous regarde en faisant claquer sa ...