Admission - Histoires de Sexe

Admission

... langue.

— Vous êtes folles, sourit Kristel en se serrant plus étroitement dans mes bras, vous êtes folles, mais je vous adore ! Je suis heureuse d’être avec vous, de vous toucher, de vous respirer… Je n’avais jamais ressenti un tel bonheur !

Ses seins pointus s’enfoncent dans mes globes lourds. Ma chatte s’écrase sur son pubis. Elle lève la tête, je lis dans ses yeux un total abandon. Elle chuchote :

— J’ai envie de t’embrasser, Annette. Je peux ?
— Mais oui, mon cœur ! J’en ai envie moi aussi, j’en ai envie depuis que tu as joui à côté de moi.

Je la laisse me bécoter timidement du bout des lèvres. J’entrouvre un peu les miennes. Elle ouvre presque innocemment sa bouche. Je glisse le bout de ma langue. Elle y répond soudain avec fougue. Nous ventousons nos bouches, nous mélangeons nos langues, nous échangeons nos salives. Nous pressons furieusement nos hanches et nos fesses, serrant réciproquement nos mains sur notre peau. Entre deux baisers, je souffle : « j’aimerais jouir avec toi, ma chérie. » Elle m’étreint encore plus passionnément.

Un concert d’applaudissements nous ramène sur terre. Les six autres nous entourent émoustillées et amusées. Alexandra a récupéré le shorty et en discute à mi-voix avec Liliane. Christiane s’approche de nous.

— Dis donc, Annette, j’ai deviné ce que tu viens de dire à Kristel. Ben oui, je te connais sous toutes les coutures ! Mais c’est moi qui remplace sa marraine, c’est à moi de partager son orgasme.
— Tu n’as qu’à dire ...

... « droit de cuissage », tant que tu y es ! Disons plutôt que tu t’es autoproclamée remplaçante… Mais d’accord, j’accepte par amitié. Je me caresserai en vous regardant.
— Heu… Pourquoi pas avec vous deux ? suggère Kristel d’un air ingénu.

De surprise, nous en éclatons de rire. Je l’embrasse tendrement sur la joue.

— Tu es un amour, ma chérie ! Je vois que tu as parfaitement adopté nos principes. Je suis sûre que Christiane est aussi heureuse que moi de cette preuve d’affection. Tu veux bien nous faire un autre beau cadeau ?
— Tout ce que tu voudras, Annette ! répond-elle spontanément, puis d’un air désolé : mais c’est la première fois que… je ne sais pas si je saurai bien faire avec vous toutes.
— Hein ? Tu penses que j’allais te demander de faire l’amour avec chacune de nous ?

L’étonnement m’a fait parler plus haut, attirant l’attention amicale des autres filles. Je la prends gentiment dans mes bras.

— Mais non, ce n’est pas ce que je voulais dire ! Tu nous as toutes conquises, c’est un fait : regarde. Quand même, on ne va pas toutes te sauter dessus !
— Qui sait… s’interroge Liliane songeuse, dommage qu’il soit déjà un peu tard. La prochaine fois, peut-être ?
— Elle plaisante, ma puce ! J’aimerais seulement que tu laisses ton shorty ici, tout imprégné de toi. Il restera tel quel, en souvenir de ton arrivée.
— Oh, mais oui, je veux bien ! Je devrai juste être prudente avec ma jupe courte, rit-elle.

Cette gamine est un trésor ! Plus on la connaît, plus on ...