La boulette - Histoires de Sexe

La boulette

... grossièrement le choix de son antagoniste, de façon à ce que celui-ci le révise)). On va en rester là alors, pas de problème, je respecte ton choix.
— Merci, je savais que je pouvais compter sur toi.
— Je te remercie beaucoup. J’ai adoré tous ces moments, je me sens très chanceux. Imagine, la meilleure amie de ta sœur, que t’as trouvé ultra sexy depuis toujours…
— … Sérieux ? Depuis le collège ?
— Bah oui, mais quand on est un ado boutonneux et complexé, on n’ose pas, hein. Et puis c’est de plus en plus compliqué au fur et à mesure des années avec celle sur laquelle tu fantasmes depuis que t’es en âge de te branler…
— Nooon…
— Oui, Fafa. Je vais même t’avouer une chose : tu remplaçais souvent les actrices de films dans ma tête quand, au final, je voulais jouir.
— … Et tout ce temps t’es resté super gentil, jamais un geste de travers, putain. Un parfait gentleman.
— Un parfait puceau, ouais. Et donc, imagine que depuis deux semaines, tu vis un rêve éveillé. Cette meuf t’a branlé, elle t’a sucé, elle t’a fait jouir et t’a même goûté. Et elle t’a fait confiance incroyable en t’offrant son corps. C’est juste dingue. Alors, encore une fois merci, merci, merci !

Je sens qu’elle vacille, ses yeux et sa bouche qui tremble la trahissent. Elle me sort sa bouée de sauvetage.

— De toute façon, eh bé, eh bé, samedi je pars quinze jours en vacances avec mes parents, à Mimizan.

J’encaisse la nouvelle, du moins je fais mine.

— Raison de plus pour en rester là, alors. ...

... Restons bons amis. Dans mes bras, copine.
— D’accord, copain.

Le moment est plutôt romantique : on se prend solennellement dans les bras, et se serre tous les deux très fort, et longtemps. Ses cheveux sentent super bon. Je chuchote à son oreille :

— Putain, j’aurais adoré être ton premier…

Elle me répond par un long soupir. On est scotchés, je relâche mon emprise, pas elle ! Alors je l’oblige doucement à se balancer, on danse un slow sans musique. Je sens son parfum, sa sueur, mais aussi son odeur de femelle qui monte. Je descends mes mains sur ses fesses.

— Tu… tu permets ?
— … Oui.

Je les empoigne avec douceur. Elle a l’air d’apprécier, son bassin est collé au mien, elle ne peut pas ne pas sentir mon érection. On est joue contre joue, c’est très excitant de ne pas se voir.

— Pour moi aussi, tout ce que tu m’as fait découvrir, c’était pas croyable…

Ça devient chaud, je la force à se frotter sur ma queue. Elle me plaque contre le parapet, me lèche la nuque et l’oreille. Putain, c’est trop bon ! Désormais je saisis ses fesses comme un mort de faim. Elle a chaud, et remonte une jambe. Je lèche ces perles sur son cou. Elle aussi chuchote à mon oreille.

— Ta bouche, ta langue, ta queue, c’était trop bon.
— Pareil pour moi, ta langue, ma queue dans ta bouche, le goût de ta chatte…
— Toi aussi t’as bon goût, tu sais, j’adore…
— Mais dis donc, ça te plaît que je te parle comme ça, petite salope.
— Oui. Continue, ça m’excite trop.
— Si je m’écoutais, je te ...