1. La boulette


    Datte: 07/10/2021, Catégories: fh, jeunes, parking, fsoumise, hsoumis, Oral fdanus, hdanus, initiatiq, Auteur: Franckosaurus, Source: Revebebe

    ... boufferais le cul ici, tout de suite.
    — … Je pouvais pas même pas penser qu’on pouvait prendre du plaisir par là.
    — Par où ?
    
    Elle se frotte désormais comme une chienne en chaleur, j’ai mes doigts dans sa raie des fesses, je cherche à pénétrer son anus comme avant-hier, mais entre le jean, son tee-shirt et sa culotte, c’est juste infaisable.
    
    — Par lààà.
    
    Sa main rejoint la mienne et la presse aussi, mais alors super fort. Moi aussi je suis excité à mort.
    
    — Oh oui, ma chérie, j’ai adoré fourrer ton petit trou du cul, dis-je à son oreille.
    
    Elle laisse échapper un gémissement, ça monte.
    
    — Et toi ?
    — J’ai adoré… tes doigts, putain…
    — … t’es doigts où ?
    — … dans…
    — Vas-y, dis-le !
    — … dans…
    — DIS-LE, SALOPE !
    — DANS MON CUL !
    
    Elle me serre ultra fort, et écrase mon bassin dans un gémissement étouffé. Heureusement je suis très excité, sinon elle m’aurait fait super mal. J’ai pas joui, car j’ai vraiment envie de la prendre ce soir. Je la sens heureuse, apaisée, douce, elle rigole et me fait des bisous dans le cou.
    
    — Pardon, mais j’ai vraiment envie de faire pipi.
    — Ben, vas-y ma belle. Y’a personne.
    
    Les platanes sont énormes, c’est donc plutôt facile de se planquer derrière. Elle se déculotte vite fait, s’accroupit, je vois sa grosse culotte blanche bien mouillée. Enfin elle pisse en me regardant, coquine, une main sur sa chatte. Je vois que dalle avec son jean, sauf le jet doré. Je sors ma queue raide, elle la fixe avec envie. Moi aussi j’ai ...
    ... envie de pisser, alors je fais mon affaire par-dessus le parapet. Je me retourne, elle est toujours accroupie contre le platane, et désormais se caresse lentement. Moi aussi. Toujours ce délire du chasseur et de sa proie dans ma tête.
    
    Je m’approche lentement, la bite à la main, non essuyée, il y a une goutte collée encore au méat, et la présente à ses lèvres, qui s’ouvrent. Je me mets à baiser sa bouche lentement, puis avec un bon rythme. Niveau sensations pures c’est pas super, mais ça m’excite trop, surtout que je sais qu’elle a le goût de mon urine dans sa bouche. Elle aussi ça lui plaît d’être soumise, d’avoir sa tête contre le platane et de servir de simple trou à bite : elle se branle avec ses deux mains. J’en profite comme un sagouin pour lui faire gober mes baloches. Vu comment elle les lèche et les suce avec entrain, ça a l’air de vraiment lui plaire aussi.
    
    Mais des bruits de pas brisent le charme. En une-deux on remonte nos pantalons, et on rentre viteuf dans sa bagnole. Elle démarre vite, et, arrivés au feu du faubourg, sans un mot, on éclate de rire.
    
    — Allez, je te ramène, tu bosses demain, toi.
    
    Je me fous de ce qu’elle me dit, comme elle est occupée à conduire, elle est à ma merci. Je déboutonne sa ceinture et son 501, et commence à branler maladroitement sa belle chatte poilue, malgré l’inconfort de sa position, étant obligée de garder ses jambes serrées. Elle proteste, mais c’est vraiment pour la forme : elle est trempée, cette cochonne. Au bout de cinq ...
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