1. Mes deux seins malgré elle


    Datte: 05/10/2021, Catégories: fh, voisins, grosseins, groscul, ffontaine, Oral préservati, pénétratio, fsodo, rencontre, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... voix et j’ai raccroché. C’est con, je sais, mais on n’est jamais trop prudent. J’ai aussi cherché sur Internet la traduction de son nom à coucher dehors : « Schwanzlutschen = sucer la bite ». Ben d’accord ! Ici, personne ne s’en émeut, mais en Alsace… En tout cas, bonne bosse de rire et plein d’idées salaces en évoquant sa bouche pulpeuse, j’éviterai de lui en parler.
    
    Juin est arrivé, période des examens pour moi, c’est-à-dire des tas de copies à corriger avec deux fois plus d’attention qu’à l’habitude, des oraux pour certains et des participations aux jurys. C’est-à-dire plus de temps libre, même le week-end. Je la regarde partir se promener seule. J’ai des regrets. Ce n’est pas une beauté ordinaire, mais elle a quelque chose d’éminemment érotique qui me touche profondément et me fait bander. Mais bon, copie suivante…
    
    Mon objectif de l’été est de construire un abri de jardin. Jusque-là, je rangeais mes outils dans un coffre et mon motoculteur sous une bâche. Quelques outils ont disparu et le réservoir de la fraise a été vidé trois fois. Les temps et les comportements ne s’améliorent pas. J’ai fait une déclaration préalable de travaux et je me lance pour un cabanon de neuf mètres carrés. Un grand trou pour une cuve de récupération d’eau de pluie, une dalle de béton de liège dessus, poutres, bardage extérieur, OSB intérieur avec isolation en laine de bois entre les deux, panneaux photovoltaïques en toiture. C’est en plaçant le dernier panneau solaire qu’un coup de vent ...
    ... soudain me fait perdre l’équilibre. Je chois avec l’escabeau dans la terre, molle heureusement, mais sans lâcher le panneau que j’ai voulu épargner. Du coup, j’ai chuté vrillé et je me ramasse tant mal que bien avec une violente douleur au dos. Je rentre cahin-caha avec une superbe sciatique, la patte bien coincée. Je sonne chez ma voisine pour lui donner quelques tomates fraîches et une salade.
    
    — Oh ! Qu’est-ce qui ne va pas ? Vous boitez ?
    
    J’explique ma mésaventure. Réaction immédiate :
    
    — Entrez et à poil, à plat ventre sur la moquette !
    
    Le ton est péremptoire, je m’exécute en ayant bien du mal à poser mon jean et même à m’allonger par terre.
    
    — Désolée, ajoute-t-elle, mais sur un lit, c’est trop mou, on ne sent pas ce qu’on fait. Et rassurez-vous, j’ai fait une formation de six mois en ostéopathie. Je vais vous débloquer sans vous casser.
    
    Je veux bien la croire, j’espère surtout que cette douleur intense va passer. Elle s’agenouille près de moi, me dit de poser mon front sur mes deux mains superposées, et ses doigts effleurent mon dos de la nuque au coccyx. Puis elle m’enfourche et s’assoit sur mes fesses. Le contact de son généreux postérieur sur le mien, jupette retroussée, a tendance à m’électriser… si je n’avais pas si mal. Et maintenant, c’est ma zigounette écrasée contre la moquette rêche qui me fait mal aussi. Ses mains se baladent sans violence le long de ma colonne, insistant à plusieurs endroits qui me font grogner. Puis elle m’intime de faire ...
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