1. Une journée ordinaire en télétravail


    Datte: 04/10/2021, Catégories: fh, couple, grosseins, poilu(e)s, Collègues / Travail Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, caresses, intermast, Oral Auteur: Antilope, Source: Revebebe

    ... vois toujours mal, je lui attrape les fesses à deux mains, et je la tire vers l’avant de sa chaise, c’est-à-dire vers moi.
    
    Mon dieu quelle vue ! J’ai le visage entre ses jambes, à 10 cm de sa culotte. Elle est assise presque tout au bord de sa chaise.
    
    Et là, je la vois ! Cette magnifique auréole de pipi légèrement jaunie et encore mouillée ! Et cette odeur ! mmmhhh ! Qu’est-ce que j’aime cette odeur ! Je respire à plein nez.
    
    J’ai les épaules entre ses cuisses, elle ne peut plus resserrer les jambes, alors j’en profite pour attraper les bords de sa culotte et regarder ce qu’il y a en dessous. Elle essaye de la replacer mais je l’en empêche. Sa petite culotte disparaît maintenant au milieu de deux grosses touffes de poils.
    
    Au-dessus de moi, ça discute stratégie, méthode agile, et business plan. Madame machin dit que c’est trop compliqué ! Qu’il faut alléger ! Simplifier ! Et enlever des choses.
    
    Qu’à cela ne tienne, j’attrape les élastiques de la petite culotte et je les tire vers moi. Ils sont très lâches et ils glissent tout seul. Ma femme tente de les rattraper, mais elle est assise trop au bord de sa chaise alors elle ne peut rien faire, j’enlève inexorablement sa culotte qui tombe à ses chevilles et finit dans ma poche.
    
    Je passe mes bras sous ses genoux, et j’attrape ses fesses pour qu’elle ne puisse pas reculer sur sa chaise ni resserrer les cuisses. Elle est foutue ! Je vais avoir ma vengeance. Ce sera plus difficile à gérer pour elle car elle est ...
    ... observée par dix personnes
    
    À quelques millimètres de mon nez, sa forêt vierge, avec au milieu ses petites lèvres roses et fripées qui émergent des poils et qui pendouillent : c’est par elles que je vais commencer.
    
    Je sors ma langue et du bout, je lèche très délicatement ces deux petites lèvres si légères, si délicates, comme des ailes de papillon. C’est plus qu’il ne lui en faut, elle m’ouvre ses cuisses complètement.
    
    Alors je descends. Je lèche les bords de son vagin, mon nez vient se réfugier sous ses petites lèvres. Elle pose l’une de ses mains sur ma tête. Au-dessus de moi, ça parle de cible, d’objectif, d’aller droit au but.
    
    Elle serre les doigts et attrape mes cheveux, elle tire ma tête pour la plaquer contre sa chatte. Je remonte et viens lécher son clitoris, son corps tout entier est parcouru par une décharge électrique. Je commence à la lécher de plus en plus fort, et son bassin accompagne le mouvement.
    
    Au-dessus de moi, j’entends « Caroline ! On ne voit plus ta tête ! » (la maligne, elle a coupé la caméra !). « Caroline tu nous entends ? »
    
    Elle se met à gémir, tout en tapotant quelque chose sur son clavier. Dans le haut-parleur, j’entends :
    
    — Bon, apparemment Caroline a un problème réseau. On va continuer sans elle. J’en déduis que le micro est coupé aussi.
    
    Alors, tout en accélérant la cadence avec ma langue, j’enfonce trois doigts dans son vagin et je fais des allers-retours. Quelques instants plus tard, une main agrippée à son siège et l’autre à ...
«1...3456»