1. Une journée ordinaire en télétravail


    Datte: 04/10/2021, Catégories: fh, couple, grosseins, poilu(e)s, Collègues / Travail Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, caresses, intermast, Oral Auteur: Antilope, Source: Revebebe

    ... vision de tous ses collègues.
    
    Je rêve d’avoir un passage secret qui me mènerait directement sous son bureau : là au moins je ne serais pas vu. Dépité, la queue entre les jambes, je remonte bosser à l’étage.
    
    À midi, nous mangeons ensemble rapidement. Elle n’a toujours pas de soutif, ça ballotte à mort sous son chemisier. Je me demande si ses collègues s’en sont aperçu ? Aurait-elle oublié ? Je ne le lui dis surtout pas.
    
    Elle me dit en s’excusant qu’elle repart en visio à 12 h 45 jusqu’à 15h ! Horreur ! Aucune possibilité d’aller faire des cochonneries dans la chambre ! Quelle vie ! On n’a plus le temps de rien. Et moi qui croyais que le télétravail libérait du temps.
    
    On range la table, il est 12 h 40. J’ai tout à coup une idée lumineuse ! Je vais me mettre sous son bureau avant que la visio commence.
    
    Je l’accompagne jusqu’à sa chaise. Elle me dit « Allez ! Ouste ! Il faut que j’allume la caméra ! »
    
    Je lui réponds que je veux rester avec elle mais que je vais me mettre au seul endroit où on ne me verra pas : sous son bureau.
    
    Elle se met dans tous ses états :
    
    — Non ! Pas question ! On va te voir ! Allez, va-t-en s’il te plaît, tu vas me mettre en retard !
    
    Comme réponse, je me mets sous le bureau, assis en tailleur et je ne bouge plus. Elle râle, me dit que je suis chiant, mais rattrapée par l’horaire, elle finit par s’asseoir et à démarrer la visio. Elle est en jupe, et j’aperçois tout au fond une petite culotte blanche en coton qui brille.
    
    Une ...
    ... fois passé les habituels « Bonjour à tous ! », les « Alors vous êtes tous chez vous ? », les « Oh moi, j’en ai marre du télétravail ! » etc. La réunion rentre dans le vif du sujet.
    
    C’est le moment que je choisis pour commencer à lui caresser les genoux. Elle se débat, repousse mes mains, mais elle est coincée, elle ne peut pas faire de geste avec ses bras car ça se voit dans sa caméra.
    
    Je remonte mes mains autour de ses cuisses et les enfonce sous sa jupe, j’atteins l’élastique de sa petite culotte. Pour que ses collègues ne voient rien, elle avance sa chaise et se colle à son bureau.
    
    Je lui caresse les cuisses et tente de passer ma main entre elles, mais elle garde les jambes désespérément serrées.
    
    Je retourne voir cette petite culotte : comment est-elle ? Plutôt petite ! On dirait que sur les côtés, il y a seulement une petite ficelle. Elle continue sa conversation avec ses collègues comme si de rien n’était. J’admire sa maîtrise, en même temps, je n’ai encore rien fait de vraiment perturbant.
    
    Je me rapproche de ses genoux et je lui fais des petits bisous, d’abord dessus, puis sur l’intérieur des cuisses, qui finissent par se desserrer. Mais alors ! Si elle desserre les cuisses, je vais pouvoir voir cette petite culotte qui m’intrigue tant : ça y est, je la vois ! Un petit triangle de coton tout simple mais trop petit, une broussaille de poils noirs déborde de tous les côtés. Mais je vois mal, alors alors je remonte sa jupe le long de ses cuisses. Et comme je ...
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