1. Une journée de Liviana T.


    Datte: 04/10/2021, Catégories: prost, Oral préservati, pénétratio, portrait, tarifé, Auteur: Amarcord, Source: Revebebe

    ... limites des prestations qu’elle assure. Pour tout traitement plus rude, il faut se tourner vers des filles bien plus spécialisées.
    
    De toute façon, la violence de son fantasme est essentiellement psychologique, elle n’en est que plus immonde. Il aime humilier, il jouit davantage d’infliger la honte que la douleur.
    
    « Sale pute ! » grince-t-il d’emblée. Il déverse sur elle des torrents de mépris comme il se soulagerait d’un ruban de pisse, lui destine froidement des mots de pure méchanceté. Elle débite les aveux qu’il croit lui arracher en cinglant mollement ses fesses.« Je ne suis qu’une bouche à pipe, un sac à foutre, un trou à queues. » Elle doit le répéter, encore et encore, et si elle a la bonne idée d’y ajouter des sanglots ou des pleurs simulés, il ne tardera pas à se soulager de son foutre, ni à verser une prime de satisfaction.
    
    Il bredouillera bien encore quelques « salope », mais dès la sortie du sas de la salle de bains, il sera poli et courtois.
    
    Pour un peu, il lui ferait le baise-main.
    
    Il est évidemment monstrueux et malsain, ce type. Que lui a fait sa mère pour être un tel fils de pute et leur en vouloir à toutes ? Que veut-il que ça lui fasse, l’imbécile, que croit-il donc lui apprendre ?
    
    Et qui sait ce dont il est réellement capable, le « psychopathe » ? Au moins, ici, on le contrôle, on lui permet de vomir un bon coup sa haine et purger sa prostate, et puis on le tient à l’œil, et en permanence, via l’œil planqué dans le luminaire. Elle se ...
    ... doute que derrière l’écran, le surveillant serre les poings. Ce n’est pas un enfant de chœur, mais entre les filles et lui, il y a la place pour une distante, mais affectueuse camaraderie. Il lui a déjà dit qu’avec ce salopard, il doit lutter pour ne pas détourner le regard, conscient qu’il doit au contraire être doublement vigilant. Il redoute un jour de craquer, et obliger le mec à bouffer sa propre merde.
    
    Elle s’en fout pas mal. De toute façon, rien ne peut plus l’atteindre, depuis ses débuts involontaires, le passage au cabanon en retrait de la grand-route, à des milliers de kilomètres d’ici.
    
    Les camions et les voitures faisaient la queue sur le parking en gravillons, et les queues, elle les prenait elle-même, sans arrêt, à l’abattage, jusqu’à vingt passes par jour ou davantage. Elle était la nouvelle, elle était un peu plus jeune et un peu plus jolie, ils payaient un prix plus élevé, et puis ils lui faisaient eux-mêmes payer très cher son reste d’innocence, prenant plaisir à salir ce qui n’était pas encore tout à fait corrompu.
    
    Alors ce n’est ni aujourd’hui ni ici qu’elle va se mettre à pleurer autrement que sur commande. Elle ne fait plus le tapin, tout est plus discret. Elle n’a plus à craindre d’être battue, et de toute façon, ceux qui le firent autrefois n’en voyaient eux-mêmes plus l’utilité, tant ils la savaient résignée. Achetée 3 000 euros, revendue 25 000, on ne dira tout de même pas que ce fut sa chance, mais au moins changea-t-elle de réseau, et au bon ...
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