1. Une journée de Liviana T.


    Datte: 04/10/2021, Catégories: prost, Oral préservati, pénétratio, portrait, tarifé, Auteur: Amarcord, Source: Revebebe

    ... lui faire plaisir, à lui, se montre embarrassée quand Liviana la déshabille, ainsi qu’il le souhaite. L’homme se contente d’abord de regarder, lui réclame avec une politesse détachée les gestes à poser sur sa compagne. La femme est toujours un peu crispée, mais elle finit par réagir au traitement qu’elle lui réserve. L’odeur de sa chatte est un peu fade. Quand vient le tour de la femme de lui rendre la pareille, l’homme défait sa ceinture, soulève le cul de sa lécheuse et la pénètre.
    
    C’est presque absente qu’elle les regarde prendre leur pied.
    
    *
    
    À 15 heures, voilà le chaste, un homme assez jeune, plutôt beau garçon. Il s’assied sur le lit ; elle le rejoint, il se confesse. Ses problèmes, ses angoisses, sa solitude aussi. Il est doux et touchant, mais se doute-t-il que là aussi, elle simule ? Elle n’est pas psychologue, et encore moins la Sainte Vierge ; les états d’âme des autres, il y a longtemps qu’elle ne les écoute que poliment, elle a bien foutu les siens propres à la poubelle. Parfois, il ne lui en faut pas davantage, parfois il demande la permission de téter gentiment un sein, ou de poser la main sur son sexe, ça doit être sa façon de prier. Et puis il s’en va, exaucé de si peu, et elle doute qu’il en soit soulagé.
    
    *
    
    Celui-là est un habitué, s’il la tutoie, c’est avec respect, affection même. Il a la trentaine conquérante, il est souriant, soigné, plein d’humour, vêtu de Boss. C’est un dépendant au sexe, celui qu’il pratique gratuitement – et ...
    ... abondamment – ne lui suffit plus. Il lui faut des compléments, comme un sportif redouble l’entraînement en se gavant de créatine. Il est toujours charmant, réclame sincèrement de ses nouvelles ; elle le trouve amusant, sympathique, elle en oublie presque qu’il s’agit d’une passe, tant leurs ébats sont traversés par un effort de séduction pourtant inutile, mais il parvient à la faire rire. Tout en forniquant, il demande des conseils, comme si elle était une monitrice sur le terrain de golf, capable d’améliorer sonswing. Il se rhabille, plaisante, laisse toujours un généreux complément au montant convenu.
    
    Avant de partir, il pose trois bises sur ses joues, et pour une fois, elle ne se dérobe pas : cet homme-là est charmant, léger, et visiblement heureux ; il se comporte avec elle comme il le fait avec ses conquêtes, avec désir et gratitude.
    
    *
    
    À 17 heures 30, c’est la sortie des bureaux.
    
    Merde ! Non, pas lui ! Elle l’avait oublié. Un petit homme terne et sec, habillé d’un costume gris à la coupe démodée. Celui-là est bien connu, son surnom est « psychopathe », et elle est une des rares qui l’acceptent, contre copieux supplément. Non pas qu’on ait vraiment peur pour les filles, mais plutôt pour lui. Il n’est pas bien costaud, l’étrangler ne serait pas si difficile.
    
    Ouverture de l’armoire aux accessoires, placement sur le lit de ceux qu’il est susceptible d’utiliser, bien que ce soit assez rare. Martinet, cravache, bandeau. Il ne lui en faut pas davantage, il connaît les ...
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