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Soumis par le père de ma copine. (1)
Datte: 03/08/2018, Catégories: Gay Auteur: Arouse, Source: Xstory
... giclées. Je m’attelai à lui nettoyer avec avidité. Il se servit ensuite de sa queue pour rabattre le sperme de mon visage dans ma bouche. Lorsqu’il se fut assuré que j’avais avalé la quasi-totalité de son sperme, il tapota son chibre sur ma gueule d’un air satisfait. Mon visage était encore collant de sa purée, ma langue n’en finissait pas de passer et repasser sur mes lèvres poisseuses et je pouvais sentir son sperme épais couler dans ma gorge jusque dans mon estomac. Je repris mon souffle et mes esprits, fixant l’homme qui venait de me baiser comme jamais je ne l’avais cru possible. Il semblait serein, et satisfait. — C’est bien. Repose-toi cinq minutes et prépare-toi pour le deuxième service. Philippe teint sa promesse et me baisa à nouveau. Deux fois. La première sous la douche, plaqué contre la vitre, je hurlai sans retenue son nom à plusieurs reprises. La deuxième sur la table du salon, au milieu de ses papiers poussés sans ménagement. C’est à cette occasion que je jouis. Je n’avais même pas pris mon sexe en main, c’est un assaut un peu trop puissant de Philippe qui me fit juter ...
... sur le parquet. Je n’avais jamais autant joui de ma vie. Lorsque ma copine rentra, j’avais pris une quantité astronomique de douches et je m’étais brossé les dents à en épuiser le tube de dentifrice. Pourtant, je sentais toujours sur moi l’odeur de mon beau-père et un goût tenace de son foutre emplissait ma gorge et mon estomac. Nous partîmes le lendemain. Philippe et moi échangeâmes en guise d’adieu une courte poignée de main. Je ne pus me résoudre à le regarder dans les yeux plus de quelques secondes de peur de ployer à nouveau sous le désir. Sur le chemin du retour, je restais silencieux tout en conduisant, ce qui eut pour effet d’inquiéter ma copine : — Tout va bien ? — Oui oui. — C’était plutôt un bon séjour non ? — Oui. — En tout cas, tu as fait forte impression à mon père. Il a demandé si on voulait passer quelques jours dans son chalet dans la montagne. Je ne pourrais pas me libérer du boulot, mais je sais que tu es en congé. Si tu n’as pas peur de rester seul avec lui, tu peux y aller, c’est magnifique là-bas. Je restai silencieux un moment avant de répondre : — Oui. Pourquoi pas ?