1. Soumis par le père de ma copine. (1)


    Datte: 03/08/2018, Catégories: Gay Auteur: Arouse, Source: Xstory

    ... entièrement.
    
    J’oscillais entre incrédulité et extase de sentir cette bite monstrueuse me sodomiser.
    
    Philippe poussa un court soupir de contentement et me dit :
    
    — Regarde-moi.
    
    Contorsionnant mon cou, j’admirais Philippe, impeccable dans son costume, me dominant de toute sa haute taille, son membre épais enfoncé dans mes fesses nues.
    
    Il se mit alors à aller et venir très lentement, se régalant de me voir gémir et ployer de plaisir à chaque mouvement.
    
    Mon beau-père porta la main à sa cravate qu’il se mit à défaire.
    
    Je l’admirais, fasciné, tandis que je sentais sa verge glisser en moi.
    
    Il retira sa chemise, dévoilant son torse et ses bras athlétiques.
    
    Une fois son pantalon aux chevilles, il attrapa fermement mon bassin de ses deux mains.
    
    Il n’eut pas besoin de parler, il lut dans mon regard le désir qui me consumait depuis la première fois que j’avais croisé son regard.
    
    Il commença à me donner des coups secs et vifs, espacés de lents va-et-vient.
    
    Je geignais à chaque coup de boutoir, le visage déformé de jouissance.
    
    Philippe se mit ensuite à ressortir sa longue verge, tambourinant mon anus de son gland gonflé, jusqu’à ce que je le supplie de bien vouloir m’honorer de sa lourde queue. Lorsqu’il jugeait mes supplications satisfaisantes, il m’enculait à nouveau, arborant un sourire fier.
    
    En quelques coups de queue, il m’avait complètement soumis.
    
    Il posa ensuite un pied sur le rebord du lit et m’attrapa par les épaules pour me piner ...
    ... avec vigueur.
    
    Je hurlais de plaisir à gorge déployée.
    
    Quand ma tête n’était pas enfoncée sur lit, j’admirais Philippe, sublime dans l’effort.
    
    Il se mit à ponctuer son pilonnage de claques sonores et puissantes, faisant rougir mes fesses et me faisant rugir.
    
    Ses pesantes bourses venaient frapper les miennes tandis qu’il me défonçait sans vergogne.
    
    Je perdis la notion du temps, Philippe me besognant sans relâche, jusqu’à ce que sa respiration se fasse lourde et saccadée.
    
    Il me gratifia encore de plusieurs coups de bassin vigoureux avant de se retirer.
    
    Il fit le tour du lit et se plaça debout face à mon visage, grognant entre ses dents serrées.
    
    — Ouvre la bouche et regarde-moi.
    
    Toujours à quatre pattes, le cul matraqué, je relevais la tête, bouche grande ouverte face à son gland proéminent.
    
    Philippe, les yeux dans les miens, poussa un râle guttural avant de jouir.
    
    Un premier jet de semence chaude recouvrit mon visage. Le second entra dans mes narines et dans ma bouche. Puis je perdis le fil des autres.
    
    Philippe éjaculait à gros bouillons d’un foutre chaud et épais qui coulait sur mes lèvres, mes paupières et ma langue.
    
    La consistance visqueuse et le goût entêtant me provoquèrent un court hoquet, mais j’avalais avec extase son sperme goûteux.
    
    Quand le flot finit par se tarir, mon visage était tapissé de foutre.
    
    Philippe, la respiration lourde, présenta l’extrémité de son gland odorant à mes lèvres pour que j’en recueille les dernières ...
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