1. Soumis par le père de ma copine. (1)


    Datte: 03/08/2018, Catégories: Gay Auteur: Arouse, Source: Xstory

    ... le regard.
    
    J’espérais avoir fait bonne impression.
    
    Philippe nous laissa prendre possession de notre chambre avant de nous inviter à le rejoindre à la piscine.
    
    Ouvrant sa valise, ma copine commenta :
    
    — Tu vois, il n’est pas si terrible.
    
    — Il n’est pas très amène... Mais je m’attendais à pire.
    
    En vérité, j’étais déconcerté par le personnage.
    
    Je me disais que je devais représenter bien peu de choses pour un homme de cette stature, mon seul exploit étant de sortir avec sa fille.
    
    Après nous être changés, nous nous installâmes près de la piscine, sous un soleil farouche.
    
    Philippe nous rejoignit peu de temps après.
    
    Lui aussi avait quitté ses vêtements et portait un maillot de bain serré.
    
    Comme je l’avais suspecté, il était plutôt athlétique, son corps était svelte et si sa peau présentait des signes de relâchement, les muscles de ses biceps et de ses pectoraux étaient noueux et dessinés.
    
    Il était en outre parfaitement imberbe.
    
    Alors que je m’étonnais de détailler autant le corps d’un homme d’âge mûr, mon beau-père de surcroît, ce dernier m’interpella :
    
    — Mathias, venez m’aider à nettoyer la piscine.
    
    Encore une fois, le ton employé démontrait qu’il ne s’agissait nullement d’une suggestion.
    
    Je me levais, mal à l’aise, Philippe était encore plus impressionnant, dévêtu qu’habillé.
    
    Alors que je m’approchais, il s’accroupit pour saisir la longue épuisette.
    
    Je restais bouche bée.
    
    Le tissu élastique de son maillot de bain était ...
    ... copieusement déformé par une bosse colossale.
    
    Médusé, je trébuchai sur un transat et manquai de tomber à l’eau.
    
    Indifférent à mon émoi, Philippe se redressa et me tendit l’épuisette.
    
    La gorge soudainement sèche, je m’en saisis, et m’activai à nettoyer les feuilles sur la surface de l’eau, tout en jetant des coups d’œil en biais.
    
    Je n’arrivais pas à me raisonner, mon regard dérivant systématiquement pour admirer à nouveau le maillot déformé de Philippe.
    
    Le bougre était bien gâté.
    
    De profil, sa virilité était parfaitement visible, déformant le tissu de son maillot.
    
    Je n’avais jamais été complexé par la taille de ma propre verdeur, mais je devais admettre que je souffrais de la comparaison avec le monstrueux paquet qu’arborait Philippe.
    
    Inexorablement, mon regard louvoyait vers son anatomie, pendant qu’il nageait, lisait ou se tenait immobile en scrutant son jardin.
    
    Je ne m’expliquai pas cette soudaine et inconcevable obsession.
    
    J’espérais qu’il n’avait rien remarqué.
    
    Quel homme tout de même !
    
    Le reste de la journée se passa agréablement, sans que mon admiration pour Philippe ne faiblisse pour autant.
    
    L’attitude détachée qu’il affichait ne faisait étrangement qu’alimenter ma fixation. Cependant, mon beau-père se montrait globalement prévenant à mon égard, veillant à ce que je ne manque de rien.
    
    Le soir, une fois dans le lit, je m’approchais de ma copine, tiraillé par un désir intense.
    
    Elle grogna en me repoussant :
    
    — Non, je suis ...
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