1. Soumis par le père de ma copine. (1)


    Datte: 03/08/2018, Catégories: Gay Auteur: Arouse, Source: Xstory

    ... fatiguée. Et ça me gêne, il y a mon père pas loin. Retiens-toi, on n’est là que pour quelques jours.
    
    Je m’allongeais donc, mon bas-ventre barré par une douloureuse érection.
    
    Les autres jours se déroulèrent en douceur.
    
    Je passais le plus clair de mon temps avec Philippe. Je ne savais plus si mon comportement à son égard était dû à mon désir de lui plaire ou à l’admiration que je lui portais.
    
    De surcroît, j’avais cette étrange impression de bien m’entendre avec lui. Et la sensation qu’il s’agissait d’un sentiment partagé. Du moins, je l’espérais.
    
    Le dernier jour, Philippe me proposa d’aller faire un footing.
    
    Acceptant immédiatement, je me retrouvais sur le pas de la porte, engoncé dans mes affaires de sport presque neuves.
    
    J’avais cette chance de posséder un corps plutôt bien foutu sans trop faire d’efforts.
    
    Philippe se présenta à moi avec la prestance, et la tenue, d’un habitué du footing.
    
    Mais plus que l’appréhension de courir avec mon beau-père, ce fut son short en lycra qui retient toute mon attention.
    
    L’entrejambe de Philippe était massif, une bosse énorme déformant le tissu et un épais sillon courait jusqu’au haut de sa cuisse.
    
    Le début de notre course mit un coup d’arrêt à mon émerveillement.
    
    En dépit de l’adrénaline, et de ma volonté de me présenter sous mon meilleur jour, je dus bien vite me rendre à l’évidence que je ne pourrais jamais soutenir le rythme intense de mon beau-père.
    
    Il cavalait devant moi, m’offrant une vue sur ...
    ... ses fesses musclées. S’apercevant de mon ralentissement, il s’approcha de moi, et cala une main ferme dans le creux de mon dos :
    
    — Allez, continue.
    
    Il me maintient à sa cadence pendant toute la course, m’alimentant de courts encouragements.
    
    Quand je ne grimaçai pas sous l’effort, je souriais, rassuré de la présence de sa main chaude qui ne m’avait pas quitté.
    
    Lorsque j’aperçus la route menant à sa villa, j’étais épuisé, éreinté, mais fier d’avoir tenu bon.
    
    Nous étions trempés de sueurs, les cheveux blancs de Philippe étaient plaqués sur son crâne et le haut de son torse luisait de sueur.
    
    Nous reprîmes notre souffle devant l’entrée. Je croisais alors son regard. Philippe était si proche de moi que je sentais son souffle chaud. Mon cœur tambourinait dans ma poitrine, échaudé par la présence proche de mon beau-père.
    
    Il me fixait et nous restâmes un court moment ainsi, face à face.
    
    Ma copine ouvrit alors soudainement la porte, et je reculais comme si j’avais commis quelque faute.
    
    — Ah, vous êtes revenus ! Je vous laisse les garçons, je dois rejoindre une amie en ville, ne m’attendez pas pour manger, je rentre tard.
    
    Sans me laisser le temps d’ajouter un mot, elle grimpa dans la voiture et nous laissa seuls.
    
    Philippe, qui était resté stoïque, remit sa main dans mon dos, me dit alors :
    
    — Viens.
    
    Il me conduisit dans les couloirs de la villa jusqu’à sa chambre.
    
    Elle était spacieuse, un grand lit trônait en son centre, et les murs étaient ...
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